Programme from 3 to 9 June 1932



Booklet

Bron: FelixArchief nr. 1968#682

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Programme 40 Speelwtyzer

Vendredi 7 Samedi a Dimanche r Lundi a: Jeudi q juin Vrijdag Zaterdag * Zondag Maandag Donderdag ' Juni

1. EclairJournal

Actualités sonores

! 2. Nuages invisibles

I Documentaire du service

scientifique de l’U. F. A.

3. En lisant le journal...

Sketch cinématographique

ENTR'ACTE

1. EclairNieuwsberichten

Aktualiteiten op den klankfilm

2 Onzichtbare Wolken

Dokumentarische film van de kultuurafdeeling der U.F A.

3. Terwijl hij de krant leest. ..

Kinografische schets

POOS

Pendant l’entr’acte • Audition de disques Tijdens de poos - Uitvoering van grammofoonpl.

PAÏiLOPHONE

4 Au Bonheur des Dames

d'après le roman d’ naar den gelijknairigen roman van

Emile ZOLA

Transposition cinégr. de Kinogratische bewerking Prises de vues: Zichtopnamen :

Noël RENARD R. OUYCHARD & A. THIRARD

! Mise en scène: Insceneering : Décors : Schermen :

)' Julien DUVIVIER Ch. JAQUE & DELATTRE

DRAMATIS PERSONÆ

Baudu Armand Bour

Denise Baudu, Dita Parlo

Octave Mouret Pierre de Guingand

Geneviève .... Nadia Sibirskaja

Colomban, Fabien Haziza

Clara Ginette Maddie

Pauline .... Andrée Brabant

Madame Aurilie . . . Mme Barsac

Jenny Simonne Bourday

Madame Desforges Germaine Rouer

Jouve Fernand Maillv

Dedoche .... Donnio

Bourdoncle .... Bras

Hartmann .... Conde


AU BONHEUR DES DAMES

A son arrivée à Paris, la jeune et pauvre orpheline de province, Denise Biaudu, se trouve immédiatement bouleversée par la puissance et le luxe du grand magasin «Au Bonheur des Dames».

Mais c’est vers une misérable boutique voisine, demeure de l’oncle Baudu, que le destin la guide.

Le pauvre vieil oncle se trouve précisément fort déprimé par l’état désastreux de son négoce.

Devinant la détresse de son malheureux parent, Denise veut se retirer. Mais Baudu n’est pas un mauvais homme: « Tu pourras loger ici, lui dit-il, pour le reste... on avisera demain ».

Demain? Pourquoi attendre?... Denise expose tout de suite son grand, son cher désir: « Peut-être là, mon oncle, au « Bonheur des Dames»... a-t-on besoin de monde? ».

Ces paroles ont le pouvoir de mettre Baudu dans une colère sans bornes: «Comment?... chez ce Mouret, ce sans-scrupule qui nous a tous affamés!... Jamais je ne te le permettrai! »

Mais Denise se défend: « 11 faut manger, mon oncle! ». C’est d’ailleurs l’avis de la frêle Geneviève, fille de Baudu, et de Colomban, le jeune commis.

Baudu, enfin, se résigne: « Fais ce que tu voudras!... Nous, nous continuerons la lutte ».

Et se cramponnant à son dernier espoir: «Bientôt... tu verras!... lorsque Colomban sera devenu mon gendre, mes affaires se ranimeront. Les jeunes savent mieux combattre ».

Dtenise feint de le croire. Mais elle a tôt fait de deviner que le jeune Colomban ne partage nullement l’enthousiasme de son patron et que Geneviève se consume en silence de l’indifférence de son fiancé.

Enfin, grâce à la protection de l inspec-teur Jouve, Denise réussît à présenter sa candidature au «Bonheur des Dames».

Mais son attitude naïve et sa mise sans élégance déchaînent de telles plaisanteries dans le monde des vendeuses, qu’on hésite maintenant à la prendre.

La déception de la malheureuse jeune fille est si profonde, si touchante que Mouret, non loin de là, s’en trouve extraordinairement bouleversé. A l’insu de tout le monde, il intervint et la fait recevoir.

Dtenise aussitôt se voit confier un emploi de mannequin. C’est pour ses impitoyables collègues un nouveau prétexte à brimades. Déroutée, malheureuse, Denise pense à fuir. Mais, secourue enfin par la bonne Pauline, elle s’arme de courage et rapidement se transforme.

Mais pourquoi faut-il qu elle aille toujours de tristesse en tristesse? Pourquoi découvre-t-elle que Colomban est fou

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d’amour pour Clara, le cruel mannequin?

Pourquoi faut-il qu’elle se heurte toujours à ce Jouve trop aimable, trop empressé?

Et pourquoi surtout Mouret la recherche-t-il avec tant d’insistance? Qui est donc cet inconnu qui la trouble de la sorte? Elle n’ose s’avouer qu’elle l’aime . Elle a peur. Elle constate que le sentiment de Mouret fait chuchoter trop de collègues jalouses.

Les affaires du « Bonheur des Dames » prospèrent toujours.

Mouret rêve de batailles plus vastes.

C’est son amie, M™' Desforges, qui obtiendra de son protecteur, le richissime baron Hartmann, tous les crédits nécessaires aux prochains agrandissements.

Et, aussitôt après cette entrevue, Mlou-ret entreprend la réalisation de son projet.

On démolit un premier pâté de vieilles maisons.

Le vieux commerce renonce et meurt.

Seul Baudu résiste encore comme un forcené. Mais le malheur, maintenant, le frappe à coups redoublés.

Ses derniers clients l’abandonnent.

Attiré par Clara, Colomban s’enfuit, laissant Geneviève dans un mortel désespoir.

Peu de temps après, au cours d’une fête champêtre organisée par le « Bonheur des Dâmes », Denise apprend brusquement la vérité: C est « le patron » lui-même qui 1 aime ainsi!

Comme elle voudrait fuir!

Mais Mouret est là, auprès d’elle, lui parlant tendrement. Elle le supplie de ne pas la torturer ainsi: « Laissez-moi, lui dit-elle, vous savez bien que c’est impossible ».

Sa résistance déconcerte Mouret: ((Pourquoi me repoussez-vous?... Vous aimez quelqu’un? ».

Elle voudrait lui crier: « Non, non, vous vous trompez», mais elle sacrifie son amour et répond, l’âme déchirée: « Otii! ».

Dès cet instant, Mouret tombe dans un morne découragement. Ni les menaces de la jalouse Mre Dtesforges, ni les supplications de ses collaborateurs ne peuvent le toucher. Peu importent maintenant les affaires... les projets... l’avenir! Seule Denise compte encore à ses yeux. Seule Denise pourrait le sauver!

De son côté, Baudu voit s’étendre l’impitoyable malheur.

Geneviève est là, morte devant lui.

Le père devrait bien avoir le droit de pleurer librement sur le corps de son enfant. Il n’en est pas ainsi. C’est à cet instant que Baudu reçoit un orde d’expulsion.

Fou de colère et de rage, le vieillard s’est redressé, menaçant. Il se vengera!

Armé, il se rend au « Bonheur des Dames ».

Il tire... tire... sur tous ceux qu’il croit être des ennemis. Mais nul n’est atteint.

Baudu seul est victime encore des événements. Et c’est au « Bonheur des Dames » que la mort vient le frapper.

Ces circonstances ont élargi encore le fossé, qui sépare D'enise et Mouret.

Déjà Mme Desforges triomphe. Et sa vengenace s’accomplit: Hartmann a coupé les crédits. Les travaux sont suspendus. Le « Bonheur des D'ames » est en périlleuse posture. Mouret va signer un renoncement à ses droits.

C’est alors que Dtenise a conscience de son rôle. Elle sauvera celui qu elle aime.

Et, forts de leur amour, de leur bonheur, ils iront vers des succès toujours plus vastes, toujours plus beaux.

Sur Paris s’élèvera toujours victorieusement la grande enseigne d’or: « Au Bonheur des Dames ».


Au Bonheur des Dames

Denise Baudu, jonge doch arme wees, komt uit de provincie naar Parijs om er haar intrek te nemen bij haar ouden oom Baudu, eigenaar van een kleine zaak, doch die iederen dag wat meer verloopt. Dë schuld hiervan ligt bij de oprichting vlak tegenover Baudu s winkeltje van de reuzenonderneming « Au Bonheur des Dames », die gansch de khënteel van Baudu heeft opgeslorpt.

Denise beseft dat zij haar oom niet ten laste mag zijn en stelt voor een betrekking aan te vragen, juist in het magazijn waartegen Baudu een onverzettelijken, blinden haar koestert, maar dat op Denise, bij haar aankomst, de aantrekking van het sprookjesland heeft gehad.

Baudu heeft nog slechts één hoop: dat Colomban, zijn klerk, eens de man zijner dochter, Geneviève, zal worden. Dan zou zijn zaak weer heropbloeien!...

lntusschen gaat Denise naar « Au Bonheur des D'ames » en, dank aap den toe-zichter Jouve, zal zij haar kandidatuur mogen stellen.Men aarzelt echter ze aan te nemen. Haar ontgoocheling is zoo ontroerend dat Mouret, de patroon, die toevallig dit tooneeltje bijwoont, er door getroffen wordt. Buiten weten van allen, laat hij Denise in dienst treden en wel als model.

Op zekeren dag moet zij ervaren dat Colomban, naar wiens liefde de kleine, zwakke Geneviève snakt, dol verkikkerd is op de hooghartige en slechte Clara, een harer gezellinen. En waarom is Jouve toch steeds zoo ingenomen voor haar?... En waarom zoekt IVlouret ze steeds op?

In «Au Bonheur des Dames» gaan de zaken schitterend. Toch droomt Mouret nog van uitbreidingen. Zijn vriendin, MT Desforges, zal er voor zorgen dat hij van haar schatrijken beschermer Baron Hartmann, de noodige gelden bekomt om zijn plannen door te drijven.

En een eerste groep kleine huizen wordt afgebroken. De kleinhandel verzaakt aan den strijd en sterft. Alleen Baudu wil zich niet overgeven en klampt zich vast als een bezetene aan zijn doode zaak, want zijn laatste klanten blijven ook nog weg. Zelfs Colomban verlaat hem, latend Geneviève aan haar wanhoop over.

Tijdens een veldfeest, ingericht door Mouret, verneemt Dënise plots dat « de patroon » haar bemint. Hij zegt het haar, in hartstochtelijke woorden. En ook zij voelt nu dat zij van hem houdt. Maar haar liefde geweld aandoend, zegt zij hem niet te kunnen beminnen.

Van dit oogenblik af laat Mouret zich door een onweerstaanbare ontmoediging medesleuren; noch de bedreigingen der jaloersche MT Desforges, noch het smee-ken zijner medewerkers kunnen hem opbeuren. Alleen Dënise kan hem redden.

lntusschen treft het noodlot den armen Baudu op dubbel-harde wijze: Geneviève sterft in zijn armen en op hetzelfde oogenblik wordt hem hef uitdrijvingsbevel overhandigd. Dat is te veel voor hem.

Van alles draagt Mouret de schuld. Mouret zal er voor boeten! Hij zal zich wreken, de doode wreken. En met het wapen in de hand trekt hij naar « Au Bonheur des Dames», schiet en schiet nog, zonder iemand te treffen. Hij zelf zal in s vijands huis den dood vinden...

Reeds kraait MV Desforges victorie. Hartmann snijdt de kredieten af. Dë werken worden stopgezet.

Mouret is bereid afstand van al zijn rechten te teekenen.

D*an krijgt Dënise het bewustzijn van haar rol. Zij zal dengene redden dien zij liefheeft.

De toekomst zal hun toebehooren.

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Dr. Martin Rikli voert ons met deze rolprent in het wonderbaarlijk rijk der Physica.

Wij wonen de zichtbaarmaking bij van Warme lucht, waarbij zooveel alledaag-sche doeningen in een heel speciaal licht geplaatst worden.

Achteloos wrijven wij per dag zoo menig lucifertje aan en weten niet welke sterke beroering dit medebrengt in de ons omgevende lucht.

Daaraan zullen wij nu menigmaal denken, na dezen U. F. A.-kultuurfilm te hebben gezien.

Als machtige wolken stijgt de verhitte lucht rond lucifer of kaars omhoog, wijl zij lichter is dan koude lucht.Daarvan had men tot heden, en vooraleer deze film dit interessante processus zichtbaar maakte, niet de geringste voorstelling.

In ’t « Instituut van technische Physica » der Berliner Technische Hooge-school is n bizonder toestel voor zichtbaarmaking der lucht gebouwd geworden. Dit toestel laat toe de dikke golven van warme lucht, die ontstaan rond een gloeilamp, na te gaan en hoe deze golven de koude lagen doordringen.

Wanneer een electrisch droog-apparaat b.v. het haar eener mooie vrouw bestrijkt, heeft men er al eens aan gedacht dat dit een orkaan doet losbreken in de koude lucht rond het hoofd?

Zulk en nog veel andere voorbeelden worden ons getoond.

Doch niet alleen vuur en electriciteit brengen beroering in de luchtlagen; ook de warmte van ons eigen bloed! Dat lijkt ons nog vreemder! Jammer dat wij in menig gewichtig oogenblik zulk indiskreet warmte - studietoestel niet ter beschikking hebben! Van menigen brandenden eed zou men gewis alsdan de juister waarde kennen. En hoe koud zou dikwerf niet de blakendste vriendschap uitvallen!

Ook de uitademing van koolzuurgas toont ons dit toestel door middel van vertraagden film. Dat het een besliste hygiënische noodzakelijkheid is bij het hoesten iets vóór den mond te houden wordt hier

In dezen film wordt op exporimentale wijze getoond hoe een verwarmingstoestel in een kamer dient geplaatst om het maximum rendement te verkrijgen


aangetoond.

Wanneer men in de nabijheid van een hoestenden mensch een blad papier houdt, zoo is achter dit blad de lucht volkomen onbeweeglijk, terwijl in de onmiddellijke nabijheid van den mond de lucht en met haar de buitenstroomende hoest-bacillen een wilden dans uitvoeren.

Oök de huisvrouw wordt getoond hoe zij spaarzamer koken kan. Men ziet inder-

Uitademing van Koolzuurgas

daad duidelijk op het doek dat, met een kleine kookketel op een groot vuur te zetten, men niets méér bereikt dan de lucht warm te maken. De ketel wordt er niets door gebaat. Het is gewoonweg geld door de vensters werpen een grootere oppervlakte dan den ketel te willen verhitten.

Na de huisvrouw, de warmtetechnicus.

Dat theorie en praktijk niet steeds samengaan, wordt weer bewezen.

Soms maakt een verwarmingstoestel, dat tegenover het venster geplaatst is, een esthetisch-mooi effekt. Maar de praktijk is daar niet mede eens. Wij zien hoe de verwarmde, lichte lucht over het toestel heen naar de zoldering trekt en bij t open venster lustig in de ruimte huppelt. Daardoor wordt de plaats niet alleen onvoldoende verwarmd, maar ook onvoldoende verlucht. Het toestel is alleen onder t venster aan te brengen.

Nog iets nieuws voor de oningewijden. Om dranken af te koelen moet men deze niet alleen in ijs zetten, maar de emmer moet met een ijsgevuld bord afgedekt worden.

Zeer eigenaardig is de opname die ons de koude, zwaar-neerzinkende lucht toont, die zich als een mantel rond het afkoelend toestel wringt.

En welk teer-poëtisch slot!

Een Kerstbetoovering! Warme lucht danst rond de stil-brandende kaarsen. Zij stijgt omhoog en doet de kleine klokken klingelen, daar boven in den boom. Zilveren klanken t’allenkant als verwaasde Kerst-stemmen, innig en oneindig...

Heerlijk visioen van zachte, emotievolle verteedering...

En met dit visioen wordt deze buitengewoon interessante rolprent, die zeer veel moeite en geduld heeft gevergd, besloten.

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Un film d'une veine comique très adroite, satyrique et divertissante, au dialogue pétillant, aux situations cocasses. ..

Voulez-vous connaître l’histoire?

Le jeune et beau Marquis d’Agrental s’aperçoit un jour qu’il est ruiné. Il loue son hôtel particulier à une riche et jolie veuve, Sylvie Mareuil. Un vol de titres par de louches associés met le Marquis en fâcheuse position vis-à-vis de son Conseil d’administration. Se croyant poursuivi par la police il entre comme domestique de M™'’ Mareuil, qu’il croit ignorante de sa véritable personnalité.

Tout s’arrange, car on retrouve les titres et, de plus, Sylvie Mareuil aime Richard, qui lui-même...

Notons surtout dans ce film les personnages de Joseph, vieux maître d’hôtel dévoué, de la cuisinière inflammable, de la soubrette, très bien campés, l’amusante silhouette de l'Américaine évangéliste, la scène du Conseil d’administration menée par Georges Tréville.

De jolis décors encadrent l’action, située à Paris, toujours soutenue; le photo est nette et les sonorités naturelles.

L’interprétation groupe une pléiade d’artistes de renom, tels que Baron fils, Michèle Verly, Madeleine Guitty, Georges Tréville, Henri Garat et beaucoup d’autres.

autoriteit de Markies d’Agrental incarneert, Diana, een verrukkelijke Sylvie Màreuil, Georges Tréville, een koddige Kolonel de Montausset, Michèle Verly, in de silhouet van een Amerikaansche evangeliste, Madeleine Guitty e. a.

NOS MAITRES,

LES DOMESTIQUES

ONZE MEESTERS,

DE DIENSTBODEN

Een prettige, humorvolle, soms dol-komische film, die gewis het publiek in de beste stemming zal brengen. Laat ons u in het kort vertellen waarover het gaat.

D'e jonge en mooie Markies Richard d’Agrental stelt op zekeren dag tot z’n groote verbazing vast dat hij volkomen in den dieperik zit. Ten einde raad, verhuurt hij zijn meesterwoning aan een jonge en rijke weduwe, Sylvie Mareuil.

De diefstal van fondsen stelt de Markies in een moeilijk parket, tegenover zijn Beheerraad. Hij denkt zich achtervolgd door de politie en komt als knecht bij Mm‘ Mareuil, daar hij veronderstelt dat zij hem toch niet kent.

Alles komt echter in orde, want men vindt de fondsen terug. En Sylvie Mareuil houdt van Richard, en ook hij...

Met zulk gegeven is er gelegenheid te over om komische en typische tooneeltjes uit te werken. Grantham Hayes, de insceneerder, heeft die gelegenheid dan ook te baat genomen en een reeks pittige, lachopwekkende scènes verwezenlijkt.

Hij heeft zich daarbij kunnen steunen op een stel eerst-klassige vertolkers, als Baron Z" in de rol van Joseph, de oude trouwe knecht, Henri Garat, die met zijn zwierige


COMMENT ON ECRIT UN SCENARIO

Parmi les papiers que le regretté Edgar Wallace a laissés à bon bureau de la R. K. O., on vient de trouver un article plein d’humour sur la façon dont sont établis certains manuscrits.

« Ce film, écrit-il, vous a beaucoup plu; vous avez admiré le constant rebondissement de son intérêt. Quel en est donc l’auteur? Na cherchez pas: il n'est l’enfant de personne, ou plutôt, il a quelque chose comme cinquante pères.

Primitivement, c était un simple conte de journal, d un écrivain inconnu. 11 a intéressé un régisseur; on l a acheté pour quelques dollars. Le mettre à l’écran sous cette forme, il n’y faut pas songer. Allongez-nous un peu cela, a-t-on dit à quelque petit retoucheur du bureau des chercheurs d idées.

Bien, placez-nous ça dans les archives; quand l'occasion se présentera...

Quelques mois après, à une réunion de directeurs:

— « Mais qu’est donc devenu « Tick-Tack », vous savez, un petit conte qu’on a eu pour rien? »

« Eh! parfaitement, il faut inscrire «Tick-Tack » à notre programme! Confions-le à X..., c’est son genre.

Précisément parce qu'on lui a imposé telle manière, X... ne la trouve pas à son goût.

« Je vais arranger ça », dit-il. Il apporte quelques idées; les retoucheurs entrent en branle; on campe un accident, un sauvetage! Et si I on ajoutait une trahison, avec arrestation provisoire à la clé? Cela va. Voilà les acteurs engagés.

« Qui, consent la vedette homme, mais à une condition: l’incendie, la dégringolade du haut de l’échelle de 75 mètres, je n’en veux pas. »

« A moi, cela me plaît, dit la vedette femme, mais je n’accepte pas la scène chez le millionnaire quand je suis surprise sur ses genoux et que sa dactylo m’envoie une glifle! »

«Entendu, entendu!... Au retouchage pour l’incendie, pour 1 échelle de 75 mètres, pour la scène sur les genoux de Monsieur; c'est la vedette qui lancera la gifle au lieu de la recevoir, et c est la femme légitime, justement une de ses meilleures amies, qui la prendra!

» Et maintenant, vite au travail; 11 faut que cela sorte dans trois semaines.

» Oûi, mais dans 1 intervalle, le régisseur, qui négociait depuis six mois avec une autre firme, rompt avec éclat son contrat. 11 faut en choisir un autre, qui, sous peine de n’être pas considéré à sa valeur, est obligé de couper et de relécher quelque peu se contenter de l’ours

id’un concurrent!

{ »Son scalpel, par malheur, tranche précisément dans ce qui plaisait le plus à la —vedette homme, qui se dérobe. On en en-*gage un autre. Le conseil des directeurs se réunit: on délibère.

» La panique règne chez les retoucheurs qui recommencent à désarticuler le scénario. Comme on a mis la main sur un acrobate sans emploi, on réinstalle l'échelle de 75 mètres. L’incendie éclatant à I I h. du soir, on se retrouve forcément dans un cabaret de nuit: danseuses mexicaines, rôdeurs polonais arrivent à point pour corser l’intrigue.

» En avant! Et dans trois semaines, le nouveau régisseur engagé, d’un ton convaincu, à un thé offert à la presse, expliquera comment son film lui a coûté 6 mois de travail incessant. »

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De Volksopvoedkundige

H et wordt meer en meer aangenomen dat de Film een kultureele waarde heeft; hierbij speelt de pedagogische beteekenis van de rolprent een doortastende rol. Het heeft opvallend lang geduurd vooraleer de Film als opvoedend element het heerschend scepticisme en de onwil uit den weg ruimde en zich door nieuwen vorm en methode imponeerde.

Wanneer heden de beteekenis van den Film als leermiddel, als volksopvoedkun-dige faktor haast niet meer bestreden wordt, dan is dit hoofdzakelijk te danken aan de innige samenwerking van technische vaardigheid, geestelijke ontwikkeling en wetenschappelijke navorsching.

Zoo hebben in Deutschland de U. F. A., in Frankrijk Pathé en Gaumont, echt pionierswerk verricht. Vooral de eerste zet heden nog met merkwaardige methodiek haar programma door en vormt een filmo-theek van wetenschappelijke banden van onschatbare waarde.

Dfe reinste vorm van den Film als instrument van onderricht vindt men terug in den, uitsluitend voor schooldoeleinden samengestelden leerfilm.

Mbn heeft slechts aan de aanschou-wingsmiddelen, niet alleen der lagere, maar ook middelbare en zelfs hoogere scholen te denken die nauwelijks tien ja-ren geleden werden gebruikt (en zelfs nu nog!) om gansch de revolutionneerende invloed van den Film te begrijpen.

De smakelooze, doode, gedeeltelijk-val-sche wandplaten, die overal hun leelijk-heid ten toon stelden, waren heer en meester in de school: zij alleen waren aangewezen om natuurlijke wetenschappen, ethnographie, aardrijkskunde en dies meer toe te lichten. Amper wanneer hier en daar enkele diapositieven, losse reisbeteekenis van de Film

indrukken door de « lanterna magica » aan de leerlingen werden getoond.

De Film heeft mogelijk gemaakt iedere leerstof aanschouwelijk te maken. De stugge, zoo dikwerf steriele studie van onderwerpen, die louter beschouwend te onderwijzen waren, bekomt nu een volkomen nieuw leven.

De Film voert allen in de werkelijkheid of de wezenlijkheid; het abstrakte wordt omgezet in haast tastbare, concrete beelden.

Vergelijk even maar de chromo-voorstelling van een dier op n wandplaat in zijn statieve niets zeggendheid en de dynamische intense levens weergave van dit dier opgenomen in de Natuur!

En dan spreken wij nog niet eens dat de Film tot gebieden is doorgedrongen waar destijds aanschouwelijkheid niet mogelijk was, b.v. de biologische geheimen der natuur of de beeldgetrouwe weergave van het onvermoede leven uit de dieren- of plantenwereld.

De inmiddels ingevoerde klank- en spreekfilm heeft natuurlijk nog een speciale beteekenis aan de rolprent als leermiddel gegeven, wijl niet alleen meer het oog doch het oor wordt gediend.

Maar niet alleen in de school heeft de Film de gewichtige beteekenis van opleider en voorlichter. Gok in de kinemazaal. D'aar spreekt hij tot de massa en brengt het nuttige bij het aangename en vervult aldus een ware kultuur-pedagogische rol.

Dbch ook hier heeft de Film met we-tenschappelijken ondergrond het hard te verduren gehad. Hoe lang hebben bios-koopbestuurders een « kultuurfilm » niet als een produkt aangezien dat slechts af en toe, en vooral zeer zeldzaam, in een


verloren hoekje van 't programma mocht verschijnen?

De massa, die vooral kwam om bloedige drama’s te zien, zoetige senstimenta-liteiten, Far-West-woestheden of idiote kluchten en uitsluitend ontspanning zocht, vond in den aanvang deze wetenschappelijke films te eentonig, droog, te ernstig in hun didaktisch karakter.

Ook hier werkte de U. F. A. baanbrekend door aan dit soort films een geschik-ten vorm te geven, waarbij de zuiver-wetenschappelijke kern omkleed wordt door een novellistische of humoristische anekdoot, wanneer niet tot het gemoed of den geest gesproken wordt.

En op ieder gebied heeft de Film zijn woord te zeggen. En aan zijn aanschouwelijkheid heeft hij meer waarde dan het gedachte of gesproken woord; het boek, de krant en de radio dringt hij op den achtergrond.

De waarde van den Film, als instrument der internationale verstandhouding en de toenadering der volkeren, kan niet luid genoeg gewaardeerd worden, want juist daardoor bekomt hij die hoog-moreele, maatschappelijke en vóór alles waar-men-schelijke beteekenis in de samenleving van onze zoo beroerde XX“ eeuw.

Bert Brecht, de schrijver van het oorspronkelijk tooneelwerk « Der Dreigros-schenopera », waaruit later het scenario van Pabst’ film « Drie-Stuivers-Opera » werd getrokken, is met Eisenstein mede naar Mbskou afgereisd.

Brecht schreef het scenario voor de film « Kuhle Wampe », die door de Duitsche censuur verboden werd. Eisenstein koestert het inzicht deze film in Rusland te doen vertoonen.

Onbeschaamden in Filmland

Te Hollywood schijnen er nog altijd lieden te zijn die gelooven dat door de 50 à 75 cents, welke zij aan de kas van een bioskoop betalen, zij daardoor het recht krijgen ook in persoonlijke betrekking te komen met de verschillende filmstars die zij op het witte doek te zien krijgen.

Robert Montgomery —- de partner van Greta Garbo in haar film « Yvonne » — is onlangs tot star verheven geworden, maar hij heeft reeds de ondervinding opgedaan dat den weg naar het stardom niet met rozen en jasmijnen is bestrooid.

Op zekeren dag nam hij zijn lunch, in gezelschap van Reginald Dtenny, in een der meest bekende spijshuizen van Hollywood. Plots kwam een man op hen toe, die alvast behoorde tot de gilde der nieuwsgierigen om niet... onbeschoften te zeggen. « Hoor eens. Bob, zegde hij zonder omwegen, wat hebt gij nu eigenlijk op uw bord? Mijn vrienden kunnen het inderdaad niet van aan hun tafel zien! »

Ook Lewis Stone, de bekende vertolker van gedistingueerde oude heeren, heeft onlangs zijn haast spreekwoordelijk geworden kalmte verloren. Hij kwam namelijk van een vermoeienden tocht huiswaarts. Op een der hoofdwegen van z’n tuin vond hij twee paren, in tennisuitrusting. Hij hield hen op en vroeg wat zij wenschten. Stone was zoozeer vol stof en vuil dat men hem niet herkende. Onbeschaamd zegden de jonge snaken: « Wij hebben zooveel goeds gehoord van de «Tennis-court » van Mr. Stone dat wij daarop eens wilden spelen».

« Kent Mr. Kent u dan? » vroeg de kunstenaar.

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« Dat niet — maar wij zien hem graag ip den film optreden en hij zal er gewis niets op tegen hebben dat wij hier een paar uurtjes vertoeven... »

Et voilà!

Een andere vrouw Nieuwsgierig, in Los Angeles, kan tot heden nog niet verstaan waarom Nils Asther doodeenvoudig den hoorn in het telefoontoestel inhaakt wanneer zij hem opschelt.

« En ik wou hem daarbij nog 50 dollar laten verdienen, wanneer hij op een mijner soiree s als gast verschijnen wil!... », voegde zij er grootmoedig aan toe.

Greta Garbo’s weerzin voor indringerigheid is te bekend als dat wij daarop nog zullen terugkomen; het zal nochtans interessant zijn te weten dat juist, om in rust te kunnen leven, zij het laatste jaar vijfmaal van woning veranderde.

En als Joan Crawford, na de eerste opvoering vap haar film « Doolwegen van het Leven», te New-York, doorheen een dicht samengepakte massa van geestdrif-tigen haar hôtel bereikte, kon zij met niet geringe verbazing vaststellen dat iemand üit het publiek uit haar kostelijk Parijzer-kleed een groot stuk « aandenken » gesneden had...

Slecht verging het echter een jong paar dat de onbeschaamdheid zoo ver dreef, op zekeren avond bij James Cruze aan te bellen, om hem ter kennis te brengen dat zij dien avond bij hem kwamen eten, daar zij met eenige vrienden 'n weddenschap hadden aangegaan dat Cruze ze ten disch zou nooden. Cruze, die veel zin voor humor bezit, ging in schijn bereidwilig op dien wensch in. Na het dîner verzocht hij beide mede naar zijn bibliotheek te gaan. D'aar las hij zijn « gasten » eenige bladzijden voor uit een boek, getiteld: « Hoe menschen zich te gedragen hebben ».

Hoezeer filmstars trachten hun telefoonnummer geheim te houden, toch vinden « oningewijden » het toch door allerlei slinksche middelen.

Zoo vertelt Marie Dressier dat iederen dag zij het bezoek ontvangt van gemiddeld vijt totaal haar onbekende lieden. Cm daarin te voorzien heeft zij een dienstmeisje dat alleen openmaakt voor de gekende vrienden.

Maar dat helpt zelfs niet altijd. Want het is reeds voorgekomen, dat dezelfde lieden die de voordeur vóór zich gesloten vonden, er niet voor terugdeinsden langs de... achterdeur in het huis te dringen.

Een nog grootere verrassing wachtte onlangs Wallace tSerry.

Deze is een flinke vliegenier en, wanneer hij niet te filmen heeft, maakt hij tochten met zijn eigen vliegtuig. Op zekeren dag was hij naar San F rancisco gevlogen. Dagbladen hadden het aangekon-digd, en ook wanneer hij terug vertrok.

Wanneer Berry op het vliegveld verscheen, was hij niet weinig verbaasd rond zijn toestel minstens 'n twintigtal menschen te vinden die hij nooit tevoren had gezien en die er vast van overtuigd waren dat hij het als een groot genoegen zou beschouwen ieder kosteloos naar Los Angeles mede te nemen...

Dit zijn natuurlijk uitzonderingen, maar ze zijn niettemin kenschetsend voor de geestesgesteldheid van sommige lieden die zich alles geoorloofd achten.

EdgarWallace, die doorging voor een rijk man, heeft na zijn dood niets als schulden nagelaten. Hij is waarschijnlijk de eenige niet!

Het « Hindenburg-Theatre » te New-York, waar men een Dtiitsch blijspel sinds twee weken opvoerde, heeft zich omge-tooverd tot bioskoop, waar Düitsche spreekfilms zullen vertoond worden.


Statistiques

Le magnifique Year Book du «Film Daily» de 1932 vient de paraître. Ce volume considérable met en valeur les statistiques suivantes:

Le record des recettes hebdomadaires des salles de cinéma du monde a été détenu par le Roxy Theatre, de New-York, avec le film « Delicious ». Cette recette était de 132.000 dollars en une semaine, soit 4 millions 660.000 francs.

L exclusivité la plus longue aux Etats-Unis a été celle du film allemand « Deux Cœurs et une Valse », qui a tenu l’affiche d'une salle de New-York pendant 50 semaines. 11 est vrai que cette salle n’a que 280 places.

La moyenne des frais de production d’un film américain s’élève actuellement à 300.000 dollars (10.000.000 francs). La durée moyenne des prises de vues est de 22 jours.

La moyenne du nombre hebdomadaire des spectateurs américains est de I 75 millions. Les enfants de 5 à 12 ans représentent les 5 p. c. des spectateurs américains.

Le Japon est le plus grand pays producteur du monde. 11 a réalisé l’année dernière 900 films.

L'industrie cinématographique dépense environ annuellement 100 millions de dollars pour la publicité.

60 p. c. des écoles américaines utilisent les films d’enseignement.

On fabrique aux Etats-Unis, annuellement, 1.100.000.000 pieds de pellicule, dont 100.000.000 pieds de pellicule négative.

La popularité des girls semble être en baisse à Hollywood. Sur les 189.589 figurants de la dernière saison, I 19.983 étaient des hommes, 62.897 des femmes, 4.867 des enfants, et on ne trouve que 1.942 girls...

Les superstitions des stars de Hollywood

Les superstitions sont toujours très répandues parmi les artistes et les employés de la scène à Hollywood. Parmi les artistes et les cinéastes, la foi aux talismans, aux bons et mauvais signe, est une règle générale.

11 est curieux de noter quelques-unes des superstitions bizarres de grandes vedettes de la capitale des films. C’est ainsi que Lubitsch ne commence jamais à tourner un nouveau film sans un énorme cigare noir. Si, par suite des conditions techniques il lui est impossible de l’allumer, il le mâche sec.

Joseph von Sternberg, dans chacun de ses films, fait figurer un chat noir, qui jadis pénétra à son insu dans le studio, pendant les prises de vues pour les « Bas-Fonds», et lui apporta le succès, croit-il.

Janette Gaynor, lorsqu’elle joue dans un film, chausse obligatoirement, au moins pour une scène, les bottines qu elle portait dans son premier film, le « Septième Ciel ».

Harold Lloyd exige que, dans chaque film qu’il tourne, un petit rôle soit donné à son père.

Greta Garbo, elle, a une autre manie. Elle demande toujours, avant de commencer à jouer véritablement, qu’on la photographie dans les diverses attitudes de son rôle, derrière un paravent, en présence seulement du metteur en scène et de l’opérateur. Autrement, affirme-t-elle, avec conviction, elle n’aura aucun succès et le film sera d’avance voué à un échec.

Quant à John Barrymore, il ne consent jamais à jouer dans un film s’il ne peut pas ou moins dans une scène fumer sa célèbre pipe.

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Un projet sensationnel

M. C. Levée, ancien régisseur général des studios Paramount, a annoncé la formation du «Screen Guild of America», corporation indépendante pour la production de films sur la base coopérative, où Levée aura pour principal associé Cecil H. Le Mille. Ce nouvel organisme, qui entreprendra la réalisation de son premier film dans quelques semaines, est l’innovation la plus sensationnelle qu’on ait vue à Hollywood depuis les débuts, il y a bien des années des « Artistes Associés ».

Voici comment fonctionnera la compagnie: « Le Screen Guild » jouera le rôle de banque et engagera des écrivains, des artistes et des metteurs en scène, leur payant un salaire fixe minimum, et leur versant des certificats de participation aux bénéfices du film. Le personnel général du studio étant payé comme à l'ordinaire, chaque film commandité par le « Screen Guild » sera, en somme, une petite société indépendante, dont les auteurs seront actionnaires. Du point de vue financier, cela promet une rétribution proportionnelle au mérite de chacun, car plus le public aime les films de tel acteur ou de tel metteur en scène, plus le film rapportera à l’artiste en question, au lieu de le laisser dépendre des termes plus ou moins justes de son contrat.

D’autre part, du point de vue artistique, le «Screen Guild» s’engage à n exercer qu’un contrôle simplement économique sur la production et à laisser le champ libre aux écrivains et aux metteurs en scène qui collaboreront et qui auront à cœur de retrouver la meilleure formule de valeur artistique pour le grand public, puisque c’est pour eux-mêmes qu’ils travailleront, et non plus pour une firme impersonnelle et anonyme.

Voici comment M. Levée expose son programme: Le « Screen Guild » sera une organisation indépendante, non destinée à concurrencer les autres compagnies, mais à combler une lacune reconnue dans ( industrie, pour donner au talent créateur une occasion libre et adéquate de développer son expression selon les lignes qui plairont le mieux au public. Pour les auteurs de films, ce sera l’occasion de concevoir des œuvres neuves et originales avec la même liberté qu’ont les auteurs de livres ou de pièces de théâtre. Nous espérons encourager ainsi la conception indépendante de films, en tant que forme d’art distincte.

Où peut augurer de ceci que nous verrons peut-être sortir d Hollywood des films d’une toute autre qualité que ceux du passé. D’ailleurs, Mary Pickford, Douglas Fairbanks, Mervyn le Roy, Cecil B. De Mille, Jules Furthman et d’autres célébrités d’Hollywood ont promis leur concours. Le piojet est modelé d après celui du «Theatre Guild», qui a vraiment sauvé et illustré le théâtre américain, et qui est le seul établissement de Broadway qui ne se ressente nullement de la crise.

La prochain film de «Doug Fairbanks».

Le prochain film de « Doug Fairbanks » sera une parodie d Ombres blanches.

Douglas Fairbanks vient de partir pour Tahiti, où il compte faire un séjour de trois mois environ. 11 réalisera un grand film brulesque d’aventures amoureuses dans les mers du Sud, qui sera une parodie du grand documentaire de Van Dyke, Ombres blanches.


Dans le Monde du Cinéma

Quatre sortes d'amoureux.

— Bien que se targuant de représenter l'amour sous toutes ses formes et dans toutes ses variétés possibles, vient de déclarer une star d’Hollywood, le cinéma ne possède que quatre genres de techniques amoureuses.

Et celle qui affirme cela s’y connaît, car elle est l’actrice la plus en vogue actuellement et, à moins de 21 ans, a connu l’étreinte (sur le set) des principaux jeunes premiers à la mode.

D’après Sylvia Sydney, car c'est d’elle qu’il s’agit, les quatre écoles sont les suivantes: l’amoureux caressant et tendre, l’amoureux romantique, l’amoureux noble et distingué (Valentino et Novarro sans doute), l'amoureux sûr de lui et dont la personnalité subjugue tout.

A cette dernière sorte, qui est la favorite, ajoute Sylvia Sydney, appartiennent Maurice Chevalier, Clark Gabble, Clive Brook, Paul Lukas et George Bancroft.

11 serait curieux de savoir dans quelle catégorie Sylvia Sydney classe Gary Cooper, son inoubliable partenaire de « City Streets ».

Une galerie de phénomènes.

C’est une troupe de bien étranges acteurs que la Metro-Goldwyn-Mayer vient de rassembler dans un de ses studios d'Hollywood pour y tourner un film.

On y trouve en effet, Coucou, le femme-oiseau, qui n’est pas sans présenter certaines ressemblances avec une cigogne; P. Robinson, l’homme squelette; Meilt‘ Marthe, manchotte de naissance, qui peut broder avec ses... pieds; Miss Chilza, la femme-épingle à la tête minuscule sur un corps normal; puis Olga, la femme à barbe; Joséphine-Joseph, la femme-homme; les soeurs siamoises Guilton, des nains, des lilliputiens, des géants.

Quel film cette compagnie va-t-elle faire avec tout ce joli monde? On ne le sait. En tous les cas, à défaut d’autre chose, ce film présentera une rare galerie de phénomènes.

Un film pour les Jeux olympiques.

La Ufa, de Berlin, vient de sortir un film de propagande en faveur des Jeux olympiques de Los Angelès. Ce film développe l’idée du rapprochement des peuples par le sport et les bienfaits du sport en lui-même.

1 ous les grands sportifs allemands ont collaboré à cette production nationale. Durant les représentations de ce film, on fait une enquête pour constituer un fonds de propagande pour le sport qui permettra l’envoi d’une équipe allemande complète aux prochains Jeux olympiques de Los Angelès.

Quand fera-t-on de même en faveur de manifestations artistiques, qui sont, au moins, aussi intéressantes que les manifestations sportives?

Les films en couleurs.

Le journal « Kinematograph » annonce, d’après son correspondant de New-York, une sort.ie de plusieurs films en couleur pour la saison prochaine. Ce serait une véritable offensive. Technicolor, qui vient de gagner un procès à propos de brevets, s’apprête à lancer de nouvelles productions en couleurs. Paramount, Warner Bros prévoient un important programme de ce genre, et la « Metro Goldwyn » aurait l’intention de refaire la « Veuve joyeuse » d'après ce procédé.

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