Source: FelixArchief no. 1968#850
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Allée du Bois, par un ( natin d’automne: feuilles rousses balayées par le vent, arbres dénudés, sol durci par le gel.
Deux cavaliers.
D’abord une amazone, élégamment sanglée dans sa jaquette d’équitation; visage vivant et clair, ombragé par la passe du feutre.
Puis, quelques dizaines de mètres plus loin, un quelconque homme à cheval.
Temps de galop de la seconde monture, rattra~ pant la première. Exclamations de surprise, sinon de joie.
— N’est-ce pas que c’est bien Blanche Montel que j’ai le bonheur de rencontrer. Mes hommages, Madame...
— Elle-même, trop, ùmable. Monsieur est ' édacteur cinégraphique, je crois.
— Monsieur l’est, en effet.
Et le Monsieur-qui-l’est, sans attendre la permission d’ailleurs tacitement accordée sans! doute, avance botte à botte avec la délicieuse ' amazone, tandis que les deux alezans secouent leur tête en cadence, semblant eux aussi échanger en leur jargon les derniers potins et nouvelles d’Hippoville et du monde chevalin.
Pour palpitant que doit être ce dernier colloque, nous ne le pouvons suivre. Mais il nous parvient de compréhensibles bribes de la conversation entre les deux humains: ... Permettez... questions... ra- pide interview.... Vignes du Seigneur.... Admira-
Blanche Montel dans La Vocation d'André Carel.
Solange Moret, Blanche Montel et Maurice Berniér sur la place de Brouckère, à Bruxelles.
. tion.... Lecteurs Ciné-Revue...
Attention, amis, on parle de vous. Nous avons affaire là sans nul doute à un des infati-g a b 1 es collaborateurs de notre petit magazine préféré, avec une grande étoile du ciné français. Cela vaut la peine de prêter l’oreille.
— Alors vous permettez que je vous interroge, et vous promettez de répondre sans tergiversations, en toute franchisé, de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité?
— Mais oui, mais oui, cher Monsieur.
— Alors, voilà: quels sont vos derniers films?
— N’est ce que cela, je m’attendais à des questions autrement indiscrètes. Mes films à paraître sont Après I'A~ mour, avec André Nox, de Gaumont, et...
— Gaumont? Qu'est-ce à dire, votre infidélité au profit de Pathé, n’aura pas été longue.
— Mais vous savez tout! Quoi qu’il en soit, le second film que j’interprète, et qui verra très prochainement l’écran, s’institule La Vocation d'André Carel; cette production a été tournée en Suîsse, au mois d’août dernier.
— Est-ce là votre interprétation préférée?
— Franchement non; je lui préfère de beaucoup mon rôle dans Le Courrier de Lyon.
— Nous avons pu apprécier en Belgique la vérité et le charme avec lesquels vous silhouettez votre personnage!
( Voir suite pape 7J.)
I Un Gamip. d.e Brncelles
A la terrasse du Métropole: Leo Adel, digne émule de öavroche.
Entre autres actualités cinématographiques du pays, il sied d'attirer une fois encore l'attention des cinéphiles belges sur l’intéressant travail mis sur chantier par le vaillant et jeune réalisateur Francis Martin.
Il s’en faut de beaucoup que Francis Martin ne soit un inconnu du public belge: ses excellentes interprétations dans divers films belges d’après-guerre, puis sa réalisation de Un So/c/at Inconnu, enfin sa compréhension profonde du rôle de François le bossu dans Bruges la Morte, ont depuis longtemps attiré sur lui les sympathies de tous ceux qui ont foi en un renouveau de l’industrie du film en Belgique.
Nous avons annoncé, il y a quelques mois, que Martin avait décidé de s’attacher à la mise à l’écran d’un film de quelque envergure. Le Gamin de Bruxelles; nous sommes heureux d’annoncer aux lecteurs que les prises de vue sont près d’être terminées, et que l’œuvre s’annonce belle et intéressante à souhait: les quelques photos illustrant les présentes pages en convaincront le lecteur.
Rappelons que le metteur en scène a fait appel à Paul Nicolas, pour tenir la manivelle, et s’est fait assister par F. Desportes, autre jeune cinéaste qui promet.
Pour ce qui est de l’interprétation, le rôle du « ketje » — car notre gavroche des bords de la Senne se doit d’être ainsi dénommé — appartient ( Leo Adel, l'amusant petit homme dont nous avons d’ailleurs donné tout dernièrement la silhouette crânement campée.., Puis, il y a: Francis Martin lui-même, William Elie, Max Petit, Debrey, Ger-sou, V. de Viegarte, M=»e» Tu-manoff et Françoise Vyck. On dit que leurs créations des rôles de Robert, William, le Docteur, M. Vierset, Toone, le Directeur, Jenny et M“»= Vierset, sont remarquablement réussies, et que plusieurs de ces artistes, qui n’avaient jusqu’à présent que peu ou prou hanté les studios, ont été des révélations.
Nous demandons à voir....
Quoiqu’il en soit, il importe
Leo Adel et Max Petit.
Jenny Tumanoff, Francis Martin et Leo Adel dans une scène de Un Gamin de Bruxelles.
Max Petit et Leo Adel dans Un Gamin de Bruxelles.
Jenny Tumanoff.
William Elie
Françoise Wijck.
de signaler l'heureuse initiative du metteur en scène, qui a osé demander à la Direction des Hospices de Bruxelles de lui prêter quelques pensionnaires enfants, aux fins de figuration. Voilà une collaboration imprévue et sympathique, qui fait bien augurer de l’esprit d’entreprise de M. Martin.
Les extérieurs du film ont été tournés au Vieux Marché, dans les quartiers populeux de la cité; certaines scènes furent prises à la Bourse, au Nord ou au Cinquantenaire, d’autres à la Porte Louise, aux abords du Palais de Justice. Certains extérieurs
enfin, ont pour centre des „coins pittoresques de Malines et d'Anvers, ou des dépendances du château de Grand Bigard.
Les intérieurs furent facilités du fait que l'hôpital Brugmann fut gracieusement mis à la disposition des artistes, par le Collège des Hospices.
Malgré ces facilités, certaines scènes d’intérieur durent être tournées au studio Helios, tandis que des extérieurs ayant été troublés par les poussées de la foule, durent être recommencés au studio. Ce sont surtout les coins du Vieux Marché, encombrés de figurants volontaires, mais trop zélés, qu’il fallut reconstituer à huis-clos, et avec la collaboration de lumière artificielle.
Il va sans dire que les opérations de prises de vue ont donné maintes fois lieu à des quiproquos amusants et imprévus: témoin, cette scène, prisa’
rue Pachéco, alors que l’appareil était caché aux yeux des curieux, mais enregistrait cependant sans défaillir une escapade du « ketje. » bruxellois. Voilà Leo Adel grimpant sur le buttoir d'un tram en marche, fureur du receveur qui, s’accrochant à une barre, se met à houspiller tout de bon l’effronté gavroche. Eclat de rire . dans la foule, et
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Réalisé dans un style qui ressemble au Cavalier de ‘Pierre et à d’autres productions allemandes, ce film est mis en «cène par Arthur Robinson. La technique est bonne, ainsi que la photographie, Ce sera, dans tous les cas, un succès de curiosité.
* * * The Breath of Scandel (Le Souffle du Scandale) est le titre du premier film de la nouvelle série de “ Schulberg Preferred Pictures „ que la société “ Moss Empires Ltd „ va exploiter en Angleterre. La production a été mise en scène par un Français, Gasnier, d’après un scénario det
Une belle expression de Leo Adel.
rire prolongé quand le public se rend compte qu’il vient d'assister à une scène de film. Le receveur lui-même, acteur sans le savoir, se reproche, mais un peu tard, d’avoir été un peu rude envers le fnalheureux gosse qui le venait taquiner.
Mais nous n’en finirions pas de narrer toutes les aventures dont furent actèurs sans le vouloir les artistes de Un Gamin de Bruxelles, scènes et tableaux qui ne figureront pas dans le film, hélas! et c’est bien dommage.
Nous reviendrons d’ailleurs sur ces détails anecdotiques, que l’espace qui nous est dévolu nous empêche aujourd’hui de compléter. C’est qu'à côté de ce travail « intra muros » il y a cent autres événements d’importance, ayant pour champ d’action les studios étrangers, ét qu’il nous faut évoquer encore.
Autres nouvelles
, * * Warning Shadows (Les Ombres Révélatrices) est le titre d’un film allemand, que la société “ Pinacle Films „ vient de présenter. Production très originale, quoique un peu macabre, elle mérite au moins l’attention des metteurs en scène, même si elle ne plaît pas aux habitués du cinéma. Le scénario consiste à un jeu entre des personnages réels et des " ombres chinoises „ et il s’agit aussi du mesmerisme. C’est un film de fantaisie et qui sort de l’ordinaire. Sauf pour présenter les
Max
Petit
On va tourner: opérateur, metteur en scène et artistes nous sourient
Eve Unsell, tiré d'un roman américain de Edwin Balmer. Dans la distribution se trouvent Betty Blythe, Lou Tellegen, et Patsy Ruth Miller.
* * * Des artistes de poids, ce sont, ceux que Buster Keaton a choisi
Un Gamin de Bruxelles.
pour interpréter à ses côtés son nouveau film ‘Chree Ages (Trois Ages).
Le fameux comique a voulu que les artistes qui jouent le rôle de guerriers préhistoriques et de gladiateurs romains soient doués d’une, stature en rapport avec celle des personnages qu’ils incarnaient.
Wallace Beery pèse le joli chiffre de 125 kilos, Joe Roberts atteint lui 150 kilos; mais le record est tenu par “ Cupid „ Morgan, pour lequel la balance accuse 155 kilos.
Buster Keaton qui pèse modestement 93 kilos, fait h côté de ces géants figure de pygmée.
notaire dans
* * * On sait quel colossal effort les Américains font en ce moment pour réaliser le super-film Ben-Hur.
La figuration dépassera tout ce que l'on a déjà pu voir jusqu’ici.
Fred Niblo, le metteur en scène de la Metro-Gold-wyn, qui travaille en ce moment à cette œuvre grandiose aux environs de Rome, s’est rendu en Arabie pour s'y procurer plus d’un millier de superbes chevaux arabes destinés à servir de montures aux cavaliers qui s’affronteront devant l'appareil de prise de vues,
Francis Martin tourne sa scène, tandis que Jenny et Leo Adel répètent.
• * a John D. Tippett, de .Londres, est allé à Los-An-gelès, où il a installé des bureaux pour la vente de la pellicule vierge, marque “ Gevaert „.
Harold Lloyd
dêinz r. T.
Girl S
Rien d’ingrat comme de vouloir évoquer les scènes d’un film dont Harold Lloyd est le principal acteur. Car comment dire, même avec l’aide de quelques très bonnes illustrations, tirées de la bande, l’humour si spécial, la mimique sobre et pourtant animée, de ce maître comique.
Harold est un observateur très subtil de la nature humaine, et comme le dit un chroniqueur d’outre-Atlantique, « il voit de l’humour là où d’autres ne
voient que tragédie ». C’est cette combinaison heureuse de sens pratique et de traits plaisants, qui fait de cet artiste un des meilleurs éléments du cinéma
américain.
Ce sont là choses qu’il ne faut même pas rappeler, à ceux qui virent Monte la - d'ssus et Le Dr Jack, considérés jusqu’à ce jour comme des chefs-d’œuvres dans le genre à la fois aventureux et comique. Dans Girl Shy, qu’il nous plaît
de présenter ce jour à l'attention de ceux qui nous lisent, l’impayable « Lui » s’est montré digne de ses précédentes créations.
Sans prétendre en donner le calque fidèle, voici un résumé succinct de l’action, qui permet, en s’aidant des photos, de se forger une idée de ce qu’est cette production.
Or donc, il était timide, très timide, et son rêve était de devenir un jour brave et audacieux.
Il avait une sainte peur de toute représentante du sexe dit faible, et pourtant tous ses désirs le portaient vers la femme.
Etudier l’âme féminine eût été son rêve; mais comment oser s’approcher de l’objet de ses rêves? Au moindre mot que lui adressait un joli minois, le voilà perdant contenance, et ces jolies girls de rire, comme bien on pense, de ce ridicule amoureux transi I
Et pourtant, qui l’eût soupçonné,
Harold avait cependant acquis une connaissance, plutôt une divination très exacte, du cœur féminin. Science infuse? Peut-être.
Quoi qu’il en soit, dans le secret de son home, notre Roméo avait donné libre cours à son inspiration, èt écrit un livre traitant exclusivement de l'amour, de ses périls et de ses joies; l’œuvre était signée, modestement de « celui qui sait ».
Lé dernier chapitre achevé, chaque page une dernière fois relue et corrigée, voilà notre jeune auteur en quête d’un éditeur. Il lui faut se rendre à la ville voisine; il part, le précieux manuscrit sous le bras, pénètre dans le wagon du train, où toutes les places sont occupées, sauf une. .Force lui est donc de s'asseoir à côté d’une sémillante miss, jolie à damner, fraîche à souhait, en un mot, délicieuse.
Et voyez: cette petite-là parvient en. quelques minutes à vaincre la timidité de son voisin, par sort gai habil et ses façons spontanées et cordiales. Harold, en veine de confidences.
lui fait part du but de son voyage. Et les voilà bons camarades!
Les jours suivants voient déjà l'anéantissement de ses espoirs. Hélas, nul éditeur en consent à prendre sur lui de publier sa pefite étude. Dans ces conditions, impossible de donner la tournure espérée aux conversations suivantes qu'il voudrait avoir avec sa jolie confidente...
Force lui est de prétendre que tout ce' qu’il a raconté au sujet de son roman, n’était que pure
fantaisie. Mais la jolie confidente ne l’entend pas ainsi: froissée d’avoir été prise par Harold comme champ d’expérience de la crédulité féminine, de dépit, elle accepte de devenir l’épouse d’un autre admirateur de ses charmes.
Chagrin de Harold qui voit s’évanouir pour lui toute chance de bonheur: elle était l’âme sœur rêvée, et sans elle le monde et la vie lui semblent sans attraits.
« ln extremis » cependant — le jour même du mariage de l’aimée — un télégramme lui parvient, l’avertissant que son roman va être
publié sous le titre imprévu de « Journal d’un Nigaud ».
Harold ne fait qu'un bond, emploie divers moyens de locomotion pour reprendre dans le cœur et dans l’estime de son « sweat hart » la place fort compro-mise. Et au moment où le pasteur va prononcer les paroles sacramentelles, il s'interpose, s'explique, s'excuse... et s'empare à nouveau et pour toujours cette fois d'une jolie menotte bien méritée.
Nouvelles d’Amérique.
— Mary Pickford se propose de tourner bientôt un film qui aura comme titre Cinderella, tiré d’un roman très connu aux Etats-Unis. C’est probablement Douglas Fairbanks qui se chargera de la mise en scène. -
— Le travail est actuellement tellement intensif à Hollywood, que quelquefois des artistes travaillent depuis 7 heures du matin jusqu’à 11 heures du soir. Plusieurs artistes connus se sont groupés afin d’obtenir des contrats qui leur garantissent le repos après 6 heures du soir et le dimanche toute la journée.
— Une grande compagnie américaine vient d’intenter un procès contre un metteur en scène qui a lancé dernièrement un imitateur du célèbre Tom Mix, lequel a un contrat à long terme avec la compagnie en question.
— Un roman d’amour ébauché pendant la filmation du Harpon, vient d’avoir son épilogue ces jours derniers. En effet, Wallace Beery vient d’épouser miss Arieta Gillman. La cérémonie a eu lieu chez Mr et Mme Frank Lloyd, metteur en scène du film Le Harpon. Beery jouait dans ce film le rôle du Capitaine Jasper Leigh.
Ce n’est pas la première aventure matrimoniale de Mr Beery; en effet il avait déjà épousé Gloria Swanson en 1916, mais il obtint le divorce en 1917.
— J. M. Barrie vient d’arrêter définitivement son choix sur l’artiste qui doit interpréter le rôle de Peter Pan, En effet, il a offert ce rôle à Betty Compson, qui a accepté. Nous devons rappeler à nos lecteurs que l’on avait pensé tout d’abord à Mary Pickford pour jouer le rôle en question,
— Un meeting, auquel assistaient plus de 500 personnes, a eu lieu dernièrement à Bellingham, dans l’Etat de Washington, pour protester contre les films sensuels et contre les pièces de théâtre d’une moralité douteuse. A la fin de la réunion il fut procédé au vote d’une adresse destinée au Président des Etats-Unis, lui demandant de faire tout son possible pour bannir du territoire de l’Union cette sorte de productions.
— La Metro - Gold wyn vient de s’assurer le concours de plusieurs écrivains très connus aux Etats Unis, parmi lesquels Chariton Andrews et Ballard Mac Donald; l’éloge de ce dernier comme humoriste n’est plus à faire. La même compagnie a entamé également des pourparlers avec Kenneth Clark, pour l’adaptation de “ Daddy-Goes-AHunting „ (Papa va à la chasse), dont le titre a été changé par
A Man’s World „ (Le Monde d’un Homme), et aussi avec Albert Le Vino qui doit s’occuper de l’adaptation de “ The Summons „.
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FILMÉ Douglas FAIRBANKS, Junior
Si vous avez lu le Petit Chose de Daudet — et qui n’a lu ce charmant récit frais comme un beau matin de printemps? — vous vous souvenez assurément de l’affaire Boucoyran?
— Du fils du marquis de Boucoyran?
— C’est cela même. Or donc le jeune Boucoyran est le type le plus caractérisé du cancre et du cancre méchant. Car il y a le cancre bon garçon et le cancre tendre et le cancre sportman, toutes espèces de cancres. L’espèce en foisonne. Et ce cancre méchant a juré de mettre à bout son pauvre petit pion de surveillant, le Petit Chose, qui a besoin de sa place pour vivre et qui est timide, timide à devenir mouton enragé. C’est bien ce qui arrive. Boucoyran manque grossièrement au Petit Chose et c’est le Petit Chose qui est remercié par le préfet de l’institution à cause du vernis aristocratique qu’il veut garder à sa Boîte avec la personne du marquis de Boucoyran.
La première aventure de Douglas junior a quelque chose de l’affaire Boucoyran, mais en mieux, comme vous allez voir.
Douglas junior n’est pas fils d’un marquis, il est l’héritier de Douglas
Harlow qui a fait fortune par une utilisation merveilleuse de la publicité. Marquis ou richissime indus« triel américain, c’est tout comme pour le directeur de la Stillwater Academy. Celui-ci, M. Black, est fier de compter parmi ses élèves un fils de milliardaire.
Or Douglas junior est un cancre.
12
C'est un cancre; intelligent, si vous voulez, un cancre sympathique, qui n’est cancre que parce qu’il aime trop le sport. C’est un cancre tout de
même.
* La semonce paternelle n’a sur lui aucun effet.
Il rit.
Il songe que son pèr est venu au monde avant lui, et que c’est très heureux ainsi.
Il passe donc Son temps à la Stillwater Academy, à faire les farces les plus excentriques, celles que vous avez tous faites en pension, et les autres. Tous I les élèves sont ses camarades et, à l’occasion, ses complices.
Tous les professeurs sont les cibles de ses quolibets et les victimes de ses plaisanteries. Et parmi eux le bon vieux Gilman,
• le Petit Chose de la Stillwater, qui serait plus justement le vieux Chose, qui a écrit cinq gros volumes sur l’histoire de la Valbanie et qui s’efforce de l’enseigner à ses élèves.
Cinq gros volumes!
A-t-on idée de ça?
Aussi Douglas junior s’assied sur les gros volumes et lance au bon • Vieux Chose ses brocards les plus aiguisés.
Et il arrive ce qui devait arriver.
Douglas échoue au bachot, précisément, pour l’histoire.
Vous voyez d’ici la scène: remontrances du directeur, condoléances ironicjîies des camarades, pleurs de la maman, colère du père. Celui-ci retire de la Stillwater Academy son cancre de fils et décide de l'envoyer sous l’égide d’un sévère mentor à Titania, capitale Valbanienne, où il étudiera
l’histoire sur place.
D l'étudie, vous le pensez bien.
Il l’étudie en compagnie d’un journaliste globe-trotter rencontré par hasard. Il commence par la géographie de la capitale dont il apprend à connaître tous les endroits selects, les jolis parcs et monuments, les thés dansants surtout et les théâtres.
Les Valbaniens absorbent, à l’époque des chaleurs, des liquides merveilleux et complexes que le
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glas et de ses gamineries en le faisant échouer à l’examen, a mis à la porte le vieux serviteur, le Vieux Chose, qui vit désormais misérablement.
Colère et indignation de Douglas.
Je vous l’ai dit qu’il est un cancre de l’espèce sympathique.
Avec l’aide de son ami le globe-trotter et à travers des aventures plus émouvantes les unes que les autres. Douglas junior prouve enfin qu’il a un cœur d’or. Il donne à son vieux professeur une situation dans une superbe affaire de publicité qui épate par la hardiesse de sa conception le père Douglas Harlow lui-même.;
Retour de l’enfant prodigue.
Joie des parents. On tue le veau gras que Ton mange en l’arrosant de champagne extra dry, goût américain.
Et tout est pour le mieux dans le meilleur des films. Jean BLAISE.
Bruxelles - Nice
Ces jours-ci, Paul Flon, le réalisateur du beau film Biuges~Ia~Morte accompagné de la toute charmante Maryse Talbot a quitté Bruxelles pour se rendre à Nice.
jeune Douglas-apprécie fort. 11 va aux courses.
Il apprend tout de même de son ami le globe-trotter des tas de choses fort inutiles pour le bachot mais qui lui serviront plus tard dans l’industrie paternelle.
Un jour, il reçoit une lettre de ses camarades de T Academy, qui lui raconte la disgrâce de Gilman. Le directeur, persuadé que Gilman a voulu se venger de Dou-
CHE MONTEL
(Suite de la pagre 3.)
Sachant votre amour des sports, je crois même inutile de vous demander le ou lesquels partagent avec l’équitation votre préférence?
— J'adore la natation, autant que l'équitation, et mon plus grand plaisir est de nager et de faire quotidiennement ma promenade à cheval.
— Si je ne me trompe, vous êtes Française?
— Vous avez bien deviné et ma plus grande ambition est de voir le film français triompher partout; pensez-vous que je puisse y contribuer?
— Sans nul doute; les films français se sont beaucoup améliorés ces derniers temps; pourtant, le cinéphile belge reste adorer certains artistes étrangers: les Mary et Douglas, les Chapliti, les Negri, les Jannings sont l’objet d'un vrai culte!
— C'est bien naturel. — Et moi aussi j'admire Sjoström et Ch. Chaplin; Mosjoukine et Sévérin-Mars possèdent mon admiration sans réserves....
— Quand avez-vous tourné Barrabasî
— Ce film m’ouvrit les «portes du studio; c’est en août 1919 que je débutai à l'écran...
— Quelles sont vos amies au cinéma?
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— Quel est votre but?
— J’espère mettre un film en scène, car c'est la partie la plus intéressante de l’industrie cinématographique, peut-être dans six mois, peut-être dans dix ans?
— Quel est le titre du prochain film que vous comptez tourner? I
— Je n’ai pas d’intentions bien définies, car j’ai des projets pour le'théâtré et le cinéma, que j’aime également; l’un ne peut se décider sans l’autre, pourtant, je puis vous dire....
Temps de galop des montures. Essoufflement du poursuivant. Décidément, nous ne saurons pas davantage aujourd’hui. 11 est vrai que rien n’empêche d’attraper le zélé rédacteur, homme de ressources et homme de cravache, lors de son prochain passage par nos bureaux.
Les projets de Blanche. Montel? Nous les connaîtrons, vous-dis-je, et bien vite. Vous verrez cela.
R. RASSENDYL.
Petites nouvelles
— Un des.comédiens les plus connus aux Etats-Unis, Raymond Hitchcock, a abandonné les planches pour se consacrer exclusivement à l’art muet.
— Le grand tenor i’ alien Tito Schipa vient d être engagé par le metteur en scène Douglas Mac Lean, pour jouer le rôle principal du film “ Sky High qui doit paraître bientôt.
— La pièce théâtrale “ Chu-Chin-Chow qui pendant cinq ans a fait le tour des Etats-Unis, vient d’êlre adaptée à l'écran par une grande compagnie américaine. Le rôle principal du film en question est tenu par Betty Blythe. Plus dé dix mille figurants paraissent dans cette production, qui nous donnera également l’occasion d’admirer Herbert Langley.
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De l’Or pour de l’Amour |
Peter Smith, millionnaire, est, marié à un jeune .« mannequin: Marion Whilneyw.
Crane Martin, parasite, vit aux dépenses de ceux .J. qu’il fréquente et dont il parvient à extorquer des 0 fonds. Il fait la connaissance de Madame Smith dans une réunion où tous deux sont invités. Son Q assiduité auprès d’elle n’a de but que de faciliter *1* l’opération qu’il convoite auprès de son mari. 0
Il donne libre cours à l’opération aventureuse dans laquelle il se lançait et qui consistait à compromettre Madame Smith et acheter son silence au prix d’une certaine somme d’argent.
Peter Smith les surprend au moment précis où Crane Martin serre sa femme dans ses bras. . Smith, cachant sa stupeur et son émoi, offre à sa femme et son amant un verre de liqueur et leur annonce peu de temps après que le liquide étaii un poison.
Craignant d’êlre empoisonnés, les deux coupables.se rejettent mutuellement leur mépris.
Madame Smith, apeurée des représailles que pourrait lui faire son mari, ne sait quelle contenance avoir.
La femme de Martin, qu’il avait présentée à Madame Smith comme sa sœur, avait suivi les opéra lions de son mari, et avait acceplée jusqu’à ce jour de faire son jeu, mais son assiduité auprès de Madame Smith l’avant exaspérée, elle s’empaTe d’un revolver et l’abat à ses pieds...
PROGRAMME du 4 au 8 JANVIER
1 Les Deux Veuves
2. PATHÉ - REVUE II
F. Smetana
3. La Course Infernale
Grand film sportif avec Reginald DENNY
4- Samson et Dalila • • C. S. Saëns
Fantasie
De l’Or pour de T Amour
Drame moderne interprété par House PETERS
Pendant la Pause
Récital pour Orgue
PROGRAMMA van 4 tot 8 JANUARI
Goud voor Liefde
De Twee Weduwen
PATHE - REVUE II
F. Smetana
Ouivelsche Wedstrijd
Sportfilm met Reginald DENNY
Samson en Dalila . • C S. Saëns
Fantazie
Goud
voor
Liefde
Hedendaagsch drama vertolkt door House PETERS
Tijdens de Poos
Récitaal voor Orgel
A partir du 16 JANVIER le FILM SENS A TIONNEL
Les
Deux Gosses
d’après le célèbre roman de P. DECOURCELLE
avec
YVETTE GILBERT
GABRIEL SIGNORET
Semaine prochaine Progranrçrrçç extraordinaire
Lucienne Legrand
* Donatien
? Jean Dax
dans
I La Chevauchée blanche
Eva Novak Wallace Beery
dans
Marché Infâme
Een gelukzoeker — Crane Martin — heeft het plan opgevat do vrouw van den millioenair Peter Smith te compromitteeren om zijn stilzwijgen met goud te doen afkoopen.
Wanneer Peter Smith zijn vrouw in de armen vindt van den avonturier, dan, verdringend zijn verbazing en zijn smart, biedt hij beiden een likeur aan en verklaart nadien, koel en vreeselijk, dat de drank vergiftigd was. Bij die verklaring spuwen beide mekaar hun verachting in het gelaat.
Tot Martin’s vrouw — die tot hiertoe voor zijn zuster doorging en die alzoo meehielp in het spel van haar man, maar uitzinnig van jaloerschheid werd, — zich meester maakt van een revolver en Martin als een hond neervelt aan haar voeten.
Vanaf 16 JANUARI de OPHEFMAKENDE FILM
De Twee Verstootelingen
naar de beroemde roman van P. DECOURCELLE X
YVETTE GILBERT S
GABRIEL SIGNORET
Imprimerie du Centre. 26. Rempart Kipdorp. Anvtn
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PRIMES A NOS LECTRICES.
Un accord avec l'Iîditeur des plus beaux journaux de modes, nous permet de faire a nos lectrices l'agréable _ sur prise suivante: Les patrons découpés, en grandeur d'exécution, des modèles paraissant sur notre Page de [ la femme peuvent être obtenus, dans des conditions extraordinaires de bon marché. Au lieu de déboursa de 3 h 5 francs pour obtenir le patron d'un modèle, nos lectrices pourront dès à présent obtenir un patron soit . *\ J* de blouse, de jupe, de robe, de manteau ou de tailleur, au prix modique de Un franc (tous frais compris). II
leu. suffit de mettre sous enveloppe à l'adresse du Comptoir de Patrons de Mode, 16, rue Albert de 4$», Latour, Bruxelles : TJ le bon triangulaire figurant au bas et à gauche de notre Page de la femme; 2) le
"y VJ Nous ne doutons pas que nos lectrices ne tiennent à profiter, nombreuses, de ces avantages, et nous
.O. YTk'T nou* proposons d’en offrir bientôt d'autres également intéressants h tous ceux qui aiment et lisent
nouj» proposons d’en offrir bientôt < assidûment Ciné-Revue.
qui
La Direction.