Source: FelixArchief no. 1968#941
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Vrijdag Ztfrfertktg Zondag Mfeftan»ikig Hondeidaig
9 novembre November
1. Eclair-Journai
Actualités sonores
2. Jour de Gloire
Dessins animés sonores
3. Et avec ça. Papa
1. Eclair»Nieuwsb richten
Aktualiteiten op den klankfilm
2. Glorievolle dag
Klankteekenfilm
3. En met dit, Vader
Comédie interp: etée par I i.onti, spel vertolkt d or
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NINO V, QUAND TU ME SOURIS - O MADONNA chansons du film ''TUUT POUR L'AMOUR" par JEAN KIEPURA
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4. Un certain Mr. GMaT
4. Een zekere Heer GRANT
DRAMATIS PERSONÆ
Un certain Monsieur Grant . . . JEAN MURAT
Rossine Dollet . . ROSINE DEKEAN
Tchermkoff .... . . Roger tvarl
Bianca, sa femme . . . .
Capitaine Gordon . .
Charlie .
Mazzini
Le Monsieur triste. . . .
Le Capitaine d'un vacht . . . . Gaston Alauger
[.’aubergiste
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UN CERTAIN Mr GRANT
Les services d’espionnage de plusieurs pays cherchent, par tous les moyens, à entrer en possession des plans d'un nouvel engin de guerre.
Une espionne, Mime Mlervin, a pu s’emparer de ces plans et les a remis à Tchernikoff, marchand de tableaux à Rome. Tchernikoff doit vendre les plans au représentant d’une puissance ennemie, Gordon. Gordon, actuellement à Venise, au Lido, doit arriver bientôt à Rome et se faire connaître de Mme Mervin et de Tchernikoff.
Au Lido, un certain, M. Grant habite le même hôtel que Gordon. Aidé de Mlle Dbllet, une ravissante jeune fille, il machine une plaisanterie contre Gordon. Qn embarquera ce dernier sur le yacht de Jacqueline, en direction d’Ostie, et Grant et Jacqueline resteront à terre.
Ce M. Grant est, en réalité, le chef du contre-espionnage et l’innocente plaisanterie cache un dessein hardi: pendant les deux jours que Gordon passera sur le yacht à contourner 1 Italie, Grant se rendra à Rome et se fera livrer les documents par Mime Mervin et Tchernikoff, en se donnant pour Gordon.
Tchernikoff se méfie et refuse de livrer les plans. Néanmoins, il reçoit aimablement le pseudo Gordon et l'invite même chez lui, où Grant rencontre à nouveau Jacqueline, amie de Mme Tchernikoff. La jeune fille aimerait savoir le rôle que joue
ce certain Mi. Grant et pourquoi il se fait passer pour un autre? Cependant, Mme Mervin a percé la véritable identité de Grant; elle lui propose de s’arranger à 1 amiable. Mais Tchernikoff a surpris le
JEAN MURAT I
UN CERTAIN MONSIEUR GRANT
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complot. Désormais, les deux hommes se livreront une lutte implacable. Tchernikoff essaye de faire tomber Grant dans un piège. Il tente en vain de le faire arrêter comme cambrioleur; mais Grant parvient à s’échapper et court à la maison de campagne dans laquelle Tchernikoff a mis les plans en sûreté. Grant arrive à s’en emparer avant que Tchernikoff ait pu procéder à l’incendie de la villa.
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Grant s’enfuit avec Jacqueline et va se fin en sûreté, ayant fait coup double: les réfugier dans son ambassade où il est en- plans et une fiancée adorable.
EEN ZEKERE HEER GRANT
De spionnen van verschillende landen trachten met alle mogelijke middelen de plannen van een nieuw oorlogstuig te bemachtigen.
Eens spionne Mevr. Mervin is in 't bezit dezer plannen geraakt en heeft ze aan Tchernikoff, een handelaar in schilderijen te Rome, ter hand gesteld. Tchernikoff moet de plannen verkoopen aan Gordon, de vertegenwoordiger eener vreemde natie. Gordon, voor t oogenblik in de Lido, te Venetië, moet kortelings naar Rome komen en zich kenbaar maken aan Mevr. Mervin en Tchernikoff.
In de Lido logeert in hetzelfde hotel als Gordon, een zekere Heer Grant. Geholpen door Mej. Dollet, een verrukkelijk jong meisje, beraamt hij eene grap met Gordon. Men zal dezen laatste inschepen cp Jacqueline s jacht, ter bestemming van Gstie on Grant en Jacqueline zullen aan land blijven.
I Déze Heer Grant is in werkelijkheid het hoofd van den tegenbespiedersdienst en de onnoozele grap verbergt een gewaagd doel: terwijl Gordon op het jacht verblijft en Italië omvaart, zal Grant naar Rome gaan, zich voor Gordon uitgeven en zich j door Mevr. Mervin en Tchernikoff de dokumenten laten uitleveren.
Tchernikoff is wantrouwig en weigert ( de plannen te leveren. Niettegenstaande ( dit, ontvangt hij den pseudo Gordon zeer! vriendelijk en noodigt hem zelfs ten huize, waar Grant opnieuw Jacqueline,
moet. Het meisje zou graag willen weten! vriendin van Mevrouw Tchernikoff, ont- j welke rol Grant speelt en waarom hij zich • voor een ander doet doorgaan. Mevr. j Mtervin heeft nochtans de echte persoon- j lijkheid van Grant doorgrond; zij stelt • hem voor de zaak... in der minne te rege- f len. Maar Tchernikoff onderschept het! komplot. Nu zullen de twee mannen el- { kaar een onverzoenlijken strijd leveren. { Tchernikoff tracht Grant in een valstrik? te lokken. Tevergeefs tracht hij hem als [ inbreker te doen aanhouden; Grant gelukt * erin te ontsnappen en snelt naar het bui- 5 tenverbhjf van Tchernikoff waar deze de | plannen in veiligheid bracht. Grant kan ze: bemeesteren alvorens Tchernikoff de villa :
in braad kon steken.
Graat vlucht met Jacqueline en gaat * zich verschuilen in zijn gezantschap waar! hij eindelijk in veiligheid is, na een dub- S beien slag te hebben geslagen: de plan- s nen en een verrukkelijke verloofde.
Et avec ça Papa En met dit. Vader
André, jeune peintre sans talent, ne fait pas grand chose et se laisse entretenir par son père, gros quincaillier.
André voudrait épouser sa maîtresse, Paulette, mais son père s’y oppose formellement et lui coupe les vivres. Il lui offre en compensation une place de vendeur dans sa quincaillerie. Le jeune homme est bien obligé d’accepter, mais il jure de se venger. Chaque fois qu’un client entre dans le magasin, André s’arrange pour qu’il parte sans rien acheter. 11 fait entrer Paulette comme caissière, sans que son père sache qui est la jeune fille. A eux deux ils risquent de ruiner le commerce. Le père d’André finit par capituler, et consent au mariage.
André, een jong schilder zonder talent, laat zich onderhouden door zijn vader, een groot handelaar in ijzerwaren.
André zou graag Paulette, zijne minnares huwen, maar zijn vader weigert ten stelligste en zet hem op droog zaad. Als vergoeding biedt hij hem een plaats aan in zijn winkel.
De jonge man is wel genoodzaakt aan te nemen, maar zweert zich te zullen wreken. Telkens er een klient in het magazijn komt, zorgt André ervoor dat hij buiten gaat zonder iets te koopen. Hij doet Paulette als kassierster aannemen, zonder dat zijn vader weet wie dit jonge meisje is. Aldus dreigen zij met hun beiden den handel te ruïneeren. Ten slotte is André s vader verplicht te kapituleeren en in het huwelijk toe te stemmen.
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TOUT POUR L’AMOUR
avec JEAN KIEPURA
On sait quel effet le ténor Jean Kiepura a produit au cinéma. Cette voix éclatante, souple et puissante à la fois, remarquablement stylée et d’unique beauté, produit sur l’auditoire un effet prodigieux, et exalte l’âme la plus fermée à la musique. C’est que la voix, en ses vibrations sonores, en ses modulations délicates ou expressives, comporte un souffle ardent de vie, que le meilleur instrument du monde, joué par le plus grand des virtuoses, ne parviendra jamais à égaler. La voix c’est, en quelque sorte, la véritable matérialisation de l’âme humaine — c’est ce qui fait son pouvoir en quelque sorte magique, sur la sensibilité de ceux qui l’écoutent, son pouvoir attractif, sa force de persuasion et de suggestion.
Or, le ténor Kiepura possède une de ces voix harmonieuses et prenantes, supérieurement « phonogénique ». Aussi, son empire sur tous les publics est-il certain. Oh peut dire qu’un film avec ce merle-blanc, est d’une qualité d’art supérieure. Aussi, le nouveau film que nous présentons la semaine prochaine avec ce ténor choyé des foules, et le très bel artiste Lucien Baroux en vedette, et qui s’intitule: « Tout pour l’Amour » est-il assuré d’un fructueux et complet succès. Ce film fut réalisé, avec sa maîtrise coutumière, par Joë May, d’après un scénario de I. V. Cube;
,Marischka et Bernauer. La musique, très bien venue, coulant de source, non dépourvue de distinction, et néanmoins facile à retenir et à chanter, en sa coupe populaire, est de W. Jurrnann et Kaper. Pour la version française, la collaboration artistique de hh G. Clouzot fut demandée. Les dialogues de Louis Verneuil sont étincelants; et les lyrics, signés H. G. Clouzot et C. L. Pothier très bien venus. Bientôt les chansons de « Tout pour l’Amour » seront sur toutes les lèvres « Ninon... quand tu me souris » à la grâce alerte que ce genre de compositions exige impérieusement, et « O1 Madonna! » est d’un élan magnifique et du rythme le plus entraînant.
Ce film passionnant et passionné est joué dans un radieux et vivant élan, avec autant d enthousiasme que de probité artistique par des artistes de tout premier plan.
Nous avons cité Kiepura (Gatti) et Baroux qui fait le secrétaire Charlie. Lixie, c’est la belle et bien disante Claudie Clè-ves; le directeur de l’Opéra, c’est Charles Deschamps. La ravissante Colette Darfeuil fait une « Dâme à Monbijou » et le rôle de Théo est confié à Jean Martinelli, de la Comédie Française, qui le compose avec autant de tact, que de saveur et de vérité.
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LES OPERATEURS DE PRISES DE VUES
Magiciens de la lumière
Voulez-vous du printemps ou des reflets d’automne? Souhaitez-vous que ce visage soit gai ou porte une trace de mélancolie?... C est notre rôle de vous servir...
Celui qui parlait ainsi un jour dans un studio n’était point un magicien. C’était un homme comme vous et moi ou plutôt c’était un opérateur de prises de vues. Un instant il avait quitté son appareil et son chariot pour régler avec son metteur en scène quelque point de détail.
Les fanatiques du cinéma, ceux qui rougiraient de honte d’avoir manqué un film, ou les amateurs moins furieux savent parfois le nom du metteur en scène, sûrement celui de la vedette, mais ils ignorent pour la plupart le nom de l'homme qui l’a faite si jolie sur l’écran.
L’opérateur de prises de vues est un inconnu. Pour beaucoup c’est un tourneur de manivelle, rien de plus. Et pourtant,!... Toujours affairé, au studio il parle peu et, hors du studio, après des heures sous les lumières, l’œil aux aguets, il préfère parler d autre chose... Gomme on le comprend!
Des noms! Redoutons d’en citer quelques-uns et d’en omettre d autres, mais
avant que, sur l’écran, les images surgissent, regardez la liste des noms, n’oubliez pas celui de l’opérateur — collaborateur précieux du metteur en scène.
Il y a en France, tout comme ailleurs, menant les cameras de nos studios, d’excellents artistes qui savent auréoler un visage, donner de l’éclat à un regard, creuser une ride qui sculptera une physionomie. L’opérateur travaille à la manière d un peintre et ses couleurs pourtant, jusqu’à présent, ne sont que du blanc et du noir.
Autre émouvante chose, nos opérateurs actuels se sont créés eux-mêmes. Ce qu’ils sont, c’est leur œuvre à eux! En leur jeunesse aucune école technique n’existait pour leur apprendre un métier qui... d ailleurs ne s’apprend pas. C’est une intuition créatrice qui les guide, perfectionne dans le commerce des metteurs en scène, des artistes, des techniciens et de leurs camarades.
Ces hommes sont des peintres; par deux touches de lumière, trois taches d ombre, ils créent du printemps ou de 1 automne, de la gait-te ou de la mélancolie. A leur manié e, croyez-nous, ils sont aussi des magicit ns.
Jean Marguet.
Les gosses Je Pans fêtent 1 anniversaire Je Aiickey jNLouse
Les gosses de Paris ont joyeusement fêté au début du mois, les cinq ans de Mickey Mouse.
Invités par le populaire dessinateur Walt Lisney et les Artistes Associés, les pupilles de 1 « Intransigeant », ont applaudi vigoureusement, aux aventures désopilantes de leur favori « Mickey ».
Quelques minutes avant la représentation, la salle des Miracles, ressemblait plutôt à une volière pépiante d’oiseaux bigarrés... mais, dès que « Mickey » apparut sur l’écran, le silence plana sur la foule enfantine... Oh entendit même des « chut »... réprobateurs...
Cependant, lorsque la petite souris spirituelle qu’est « Mickey-Mouse », déjoua avec une habileté et un humour, ruses et embûches, la sagesse s’envola... Quelques rires fusèrent, et bientôt le miraculeux silence — qui eût fait rêver un « pion » — fit place à une manifestation de gaîté bruyante et désordonnée... Les victoires de Mîckey étaient saluées à chaque fois, de claquements de banquettes, d’éclats de rire, et d’une salve d’applaudissements bien nourrie...
Un accueil différent, mais tout aussi chaleureux fut réservé aux « Silly Symphonies»... Oh y perçait 1 émotion et le respect de l’enfance pour tout ce qui touche à la légende. Et... quelles légendes merveilleuses ne leur montrera-t-on pas!: «Au Pays des Fées», «Le Père Noël»... Dte quoi faire rêver l’enfant Ile moins imaginatif!
Ces bandes animées en couleur, qui
sont de véritables chefs-d’œuvre, reçurent l’ovation d’un jeune public pénétré d’admiration...
De nombreux « Déjà! » désolés, accueillirent le mot «Fin», et sous l’aveuglante lumière du jour, on put voir sortir du cinéma des gosses aux visages émerveillés, aux yeux éblouis...
Le mot de la fin fut dit par un bonhomme de six ans, que sa mère était venue chercher:
— Mi’man, déclara cet innocent, avec une fierté non déguisée, eh ben, moi, je l’ai vu le Père Noël! G’qu’il est «bien»!...
C’est là, l’hommage le plus flatteur qu’on puisse rendre au créateur de ces magnifiques dessins... d avoir su fixer avec art, l’image d’un personnage imaginaire, dans l’âme neuve et fraîche d’un petit enfant.
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denbond « St. Odilia » is, door den be- j
kenden filmoperateur Hin, een propagan- j da-film vervaardigd, waarin op boeiende j wijze een pakkend beeld wordt gegeven? van het pogen en kunnen der blinden, via? hun schoolopleiding opklimmend tot hun | leven in maatschappelijk verband, in ge- j zin en velerlei beroepsuitoefening. |
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I Käthe de Nagy en de Mode
Toen men onlangs bij een interview aan Käthe de Nagy vroeg: « Wat denkt u over de hedendaagsche mode?», antwoordde zij lachend, terwijl zij een sigaret opstak, het volgende:
« D'e rechte en strenge vormen van de mode van dit jaar staan me niet zoo zeer», babbelt Käthe de Nagy. « Ik kies altijd het uitgesproken vrouwelijke, zachte en teeder in de kleeding. Mij staat het opvallende en buitengewone niet. — Er bestaan dit jaar vele mogelijkheden. Ik draag het liefst eenkleurige stoffen en draag daarbij meestal groote slappe hoeden. — Mijn avondjaponnen zijn bijna altijd wit, en als eenig sieraad draag ik een orchidee, mijn lievelingsbloem. Andere sieraden, behalve een klein gouden armkettmkje, mijn talisman, draag ik nagenoeg nooit. Het best voel ik me in een sportcostuum, tennis- of zeilcostuum. IVüjn lievelingssport is paardrijden, maar jammer genoeg heb ik daarvoor maar weinig tijd.
Meestal vind ik geschikte modeljapon-nen. Mijn japonnen, die ik op de film draag, moet ik natuurlijk in overeenstemming met mijn regisseur laten vervaardigen, precies zooals het draaiboek het verlangt. D'at is duidelijk, nietwaar?
Mijne filmkleederen draag ik in huis nooit af! Meestal kan men ze in het geheel niet meer gebruiken, daar ze door het schijnsel der jupiterlampen verkleuren.
Weet U, één ding is zoo fijn bij de tegenwoordige mode. Zelfs met het minste geld kan de vrouw in haar kleeding door kleine variaties — hier een dasje — daar een collier — of een kleurig mutsje, afwisseling brengen. Gelooft U mij, dat moet ik U zeggen, het is werkelijk waar: Ik
ben in Parijs, Londen, in Hollywood en Chicago geweest, heb werkelijke elegante schoone vrouwen gezien, en heb bevonden, dat de Berlijnsche bij deze vrouwen niets achterstaat. »
ALS DE STERREN TROUWEN
OM! OVER NA TE DENKEN.
De filmactrice Jean Harlow, zij heet eigenlijk Harlean Carpentier, is getrouwd. Eigenlijk is dat geen nieuwtje, want zij was voordien al twee maal gehuwd. Haar ervaringen van het huwelijksleven begonnen op zestienjarigen leeftijd, toen de heer Charles McGrew haar afstond. Het geluk duurde slechts twaalf maanden. Verleden jaar waagde zij een nieuwe poging en de filmregisseur Dr. Paul Bern zwoer eeuwigen trouw, doch twee maanden na het huwelijk maakte hij een eind aan zijn leven.
Met echtgenoot nummer drie, den filmoperateur Harold Cosson, is miss Harlow nu maar niet zoo eenvoudig, als elke gewone sterveling, in het huwelijk getreden. Het is nu eenmaal nocdzakelijk, dat ster-ren-huwelijken ongewoon worden voltrokken, al is het moeilijk dergelijke in Hollywood veelvuldige plechtigheden tot in het oneindige te varieeren, zonder een voorgangster te imiteeren.
Natuurlijk is Jean Harlow niet in Hollywood getrouwd, dat zou te normaal zijn. Verder ging zij niet « zoo maar » naar een geestelijke. Verre van dien. Zij ontvoerde namelijk haar bruidegom heel vroeg des morgens, zette hem in een vliegtuig en arriveerde om 4 uur in Yma (Arizona). Zij kreeg daar een speciale vergunning om te trouwen, maakte een vrederechter wakker en cm 4 u. 20 des morgens was het huwelijk voltrokken.
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