Bron: FelixArchief nr. 1968#1006
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Programme 31 Speelwffzer
” Donder
Zondag
Maandag
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April
1032
1. AU FEU!
2. Comment Ali et Medor sont
devenus amis
3. Le Zoo s'amuse.
Documentaire du service scientifique de l’U. F. A.
4. EclairJournal
Actualités sonores
ENTR'ACTE Pendant l’entr’acte - Audition de disques
PAUL,
1. BRANDI
2. Hoe Ali en Medor vrienden zijn
geworden.
3. Vermaak in de Dierenwereld.
Dokumentarische film van de kultuurafdeeling der U. F. A.
4. Eclair-Nieuwsberichten
Aktualiteiten op den klankfilm
POOS
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Morceaux extraits du film U.F.A. - Uittreksels uit den U.F.A. film LA FILLE ET LE GARÇON * HET MEISJE EN DE JONGEN interprété par - vertolkt door LILIAN HARVEY et HENRY GARAT
5 RONNY
(No 17147 et 17148)
Operette à grand spectacle - Operette met grootsche insceneering
Scenario; Réalisation : Verwezenlijking :
Reinhold Schünzel Couplets: Koepletten :
Jean Boyer Orchestre: Orkest :
Marek Weber Prises de sons: Toonopnamen :
H. Fritzsching Costumes: Kostümen :
Benno von Arent
Scénario:
Reinhold Schänzel & E. Pressburger
Dialogues: Dialogen :
Raoul Ploquin Musique: Muziek :
Emmerich Kälman Prises de vues: Zichtopnamen ;
Fritz Arno Wagner Décors: Schermen :
W. Schlichting & Benno von Arent
DRAMATIS PERSONÆ
Ronny .... Käte von Nagt Le Ministre de la Cour .
Le Prince de Perusa De Prins van Perusa . Marc Dantzer De Minister van het Hof Antoine .... Georg. Deneubourg Lucien Calleband
L Intendant du T heatre . De Schouwburg intendant Lucien Baroux Lisa .... Monique Casty
Le Ministre d’Etat. Bomboni Guy Sioux
De Minister van State Charles Fallot Le Majordome
Le Ministre de la Guerre De Majordoom Fernand Frey
De Minister van Oorlog Gustave Huberdeau
RONNY
A Vienne, la jeune Ronny est dessinatrice, aussi talentueuse que mal payée, chez les plus importants costumiers de la ville. Elle a fait les maquettes de tous les costumes de La Princesse Charmante, une opérette écrite par un vrai prince, Rodolphe Ier, souverain d’Anagos-tie. Ronny s’est surpassé pour les costumes de cette pièce que le Prince doit faire représenter dans son propre théâtre, en sa capitale de Pérusa. C’est que Ronny est captivée par cette partition, elle en aime la musique qu elle connaît déjà par coeur, et elle en fredonne les motifs principaux sous l’œil réprobateur d’Antoine, le garçon de bureau.
L’auteur de La Princesse Charmante a, lui-même, tout du Prince Charmant. Nous voyons au château princier ce jeune homme, plus doué pour les arts que pour la politique, entouré d’une clique de ministres intrigants. Toute cette camarilla est actuellement en effervescence; Pérusa, en effet, est la capitale d’un état qui, de temps immémorial, a été gouverné par des femmes, et le Prince n’a pas encore de favorite. Le choix de cette nouvelle Pompadour est bien difficile. A l’insu du Prince, les ministres décident de confier ce poste délicat à la future vedette de La Princesse Charmante pas encore choisie. Il faudrait une cantatrice pleine de grâce et de talent, fort capable de se mettre à la tête des affaires de la Principauté. L’intendant va spécialement à Paris pour engager une grande cantatrice qui semble avoir ces qualités. L’intendant est revenu en avion annoncer l’arrivée de l’artiste pour le lendemain. Pendant ce temps, les patrons de Ronny décident d’envoyer la jeune dessinatrice livrer les costumes à Pérusa en compagnie du fidèle Antoine
L’accès de Pérusa n’est guère aisé. Une chaîne de montagne sépare la Principauté des pays voisins et seul un poussif tortillard, le train de 4 heures, établit chaque jour une communication internationale. Le train de 4 heures arrive d’ailleurs habituellement à 6 heures à Pérusa, mais le jour de la venue de Ronny un fait inouï se produit: le train est à l’heure. Antoine et Ronny ne trouvent en débarquant qu’un grotesque Bomboni, lequel cumule les fonctions de chef de gare, de lampiste, de télégraphiste, de porteur de bagages et de limonadier. Tandis qu’Antoine s’occupe des bagages, Ronny part seule à la recherche d’un hôtel, l’unique du pays, que lui a indiqué Bomboni. Elle traverse le parc du château, rencontre le Prince tout occupé à composer sur le sable et lui demande son chemin. Bien entendu, le prince ne révèle pas son identité; quant à Ronny, elle se fait valoir, se dit chargée d’une mission artistique auprès de Son Altesse et celui-ci — qui n’a pas de peine à se faire passer pour un copiste de musique — prend Ronny pour la cantatrice annoncée. Galamment, il la débarrasse de ses sac, manteau, parapluie, puis il s’offre à l’accompagner à son hôtel. Ronny n’est pas peu surprise de voir dans les rues de Pérusa toute la population les saluer, son compagnon et elle. Jusqu’à la garde, qui leur présente les armes et joue l’hymne national! Le Prince persuade Ronny que ces honneurs s’adressent à tout nouveau venu dans la principauté, mais un portrait de Son Altesse exposé dans une librairie vient dessiller les yeux de la jeune fille. Intimidée et affolée, elle se sauve en laissant son parapluie aux mains du jeune homme. Le Prince est ravi! Il revient au château et félicite son intendant pour le choix de la chanteuse. L’intendant, qui venait de recevoir un télégramme par le-
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quel la cantatrice se décommandait, reste interloqué, mais, après un moment d’ahurissement, il ne perd pas le nord et va tout de suite à 1 hôtel où Antoine et Ronny sont descendus. L’intendant demande à la jeune fille si elle sait chanter et sur sa réponse affirmative l’engage en lui disant qu elle devra apprendre son rôle en trois jours. Cela se trouve bien, Ronny connaît La Princesse Charmante par cœur. Tout va donc de ce côté-là. Une heure plus tard, une calèche de Son Altesse vient chercher notre héroïne pour la conduire à 1 audience officielle que le protocole lui fait accorder par le Prince. Intimidée par le luxe, le déploiement de faste, l’étiquette et les nombreux salons où on l’a fait passer, Ronny, laissée seule dans une galerie, plante tout là et se sauve à toutes jambes. Le Prince l’a vue par sa fenêtre. Sans façon, il part à sa poursuite, la rattrape et la ramène au château, où l'audience se prolonge au delà des limites prévues autour d’un piano, où nos jeunes gens travaillent à l’opérette princière. Ces incidents et la longueur de cette entrevue défraient déjà la chronique scandaleuse de Pérusa. « Enfin! », disent les ministres, « nous avons notre Pompadour! » et la population chuchote: « Enfin, nous avons notre Pompadour! ».
Tout arrive, la première de gala de La Princesse Charmante a lieu. Ronny emporte un succès fou, et à la fin de la représentation, la salle croule littéralement sous les applaudissements dont une foule en délire ovationne l’auteur et la principale interprète. Un succès aussi complet dépasse toute attente, il grise jusqu’aux ministres eux-mêmes. Dans leur hâte de former une favorite qui leur doive tout, ils vont même un peu fort. Ronny, dans sa loge, où la foule défile pour la féliciter, vient de recevoir de la part du Prince une corbeille de roses rouges et un diamant magnifique, hommage de l’auteur à son interprète. Le premier ministre, porteur de ce cadeau princier et d’une décoration pour Antoine, vient cyniquement annoncer à Ronny ce que les dignitaires attendent d’elle. 11 faut qu elle devienne le soir même, dans un souper en tête-à-tête de « Monbijou », la maîtresse du prince. Une fois dans la place, qu elle s’arrange pour protéger les dignitaires, à qui elle est redevable de cette fortune inespérée.
A son arrivée au château de « Monbijou », Ronny est happée par toutes sortes de parasites qui tentent de s’accrocher à son étoile naissante et lui proposent d’importants pots-de-vin dans des affaires plus ou moins louches. Laissée en tête-à-tête avec le Prince, Ronny, furieuse de la manière dont on l’a traitée, s’indigne, s’emporte, révèle qui elle est, dévoile toutes les machinations et quitte la salle du souper en claquant la porte. Le Prince est ravi; il avait flairé une combinaison et donné ordre de reconduire le soir même sa trop jolie chanteuse; mais le courroux vertueux de la jeune fille a complètement transformé ses sentiments; il se précipite vers la chambre de Ronny, ouvre la porte et trouve la pièce vide dans un grand désordre. Les ordres de Son Altesse ont été bien exécutés, on a reconduit Ronny à la gare.
Le Prince court et se précipite. Sera-t-il à temps à la gare pour rattraper Ronny? Il arrive enfin au moment où le train s’ébranle. Dieu merci, le tortillard national n’a guère d’élan, le Prince le rattrape en quelques enjambées. Par la grille entr ouverte du parc, deux ombres enlacées viennent maintenant de se glisser dans la nuit, ce sont le Prince et Ronny, qui rentrent au château, réconciliés et amoureux.
RONNY
Rudolf-de-Eerste, Vorst van Anagos-tió, houdt oneindig meer van muziek dan van politiek. Hij heeft zelfs een operette gecomponeerd, De bekoorlijke Prinses, en laat ervoor in de beste kos-tuumzaak uit Weenen splinternieuwe kos-tumes vervaardigen. Het is Ronny, zeer begaafde, maar slecht betaalde (dat gebeurt, helaas, zoo dikwerf!) teekenaarster van het huis die alle ontwerpen er voor schiep en zoozeer in haar taak opging dat zij, uit eigen pret, de gansche partituur van buiten leerde.
Intusschen bereidt men in den schouwburg van Perusa, de hoofdstad, alles voor om het koninklijke werk vóór het voetlicht te brengen. Voor al de intrigeerende ministers moet deze gelegenheid worden te baat genomen om aan t land een « nieuwe Pompadour » te schenken. De zangeres die naar Perusa zal komen om De bekoorlijke Prinses te zijn, moet dus haar rol ook in de werkelijkheid overspelen. Met zulke opdracht trekt de schouwburg-intendent naar Parijs en keert terug, voldaan over zijn zending.
Wanneer alle kostumes kant en klaar zijn, wordt Ronny door haar patroons naar Perusa gezonden. Antoine, de kantoorjongen, zal haar vergezellen.
Beiden vinden bij hunne aankomst slechts Bomboni, die is: stationsoverste, glazenwasscher, telegrafist, sjouwer en herbergier! Terwijl Antoine zich met het gepak bezighoudt gaat Ronny op zoek naar het eenige gasthof van de stad. Zij ontmoet de Prins, dien zij echter niet kent, en vraagt hem den weg. Hij neemt ze voor de aangekondigde zangeres en doet zich heel galant voor. In de stad worden zij eerbiedig begroet en de wacht speelt het nationaal lied. «Dat gebeurt
zóó voor alle vreemdelingen », liegt de Prins Ronny voor, wanneer hij haar verbazing merkt. Een toeval echter brengt haar op de hoogte en gansch ontdaan vlucht zij weg.
Intusschen kwam het bericht toe dat de « zangeres » van haar plan afzag. De in-tendent laat zich niet mat zetten en gaat dadelijk Ronny — wier komst hij vernam —- opzoeken: Zij zal de hoofdrol vertolken. Ziedaar!
Een uur later stopt de karos van den prins vóór het gasthof; zij wordt « ten pa-leize genoodigd voor een officieel onderhoud met den Vorst »! Daar gekomen wil zij weer vluchten, doch de Prins zet ze achterna en voert ze in de muziekzaal van het paleis. En de audiëntie wordt al maar door verlengd rond een piano, waar beide de operette instudeeren... En reeds doen de ministers den volke kond: « Eindelijk hebben wij onze Pompadour! ».
De eerste opvoering van De bekoorlijke Prinses heeft plaats: een ware triomf!
Ronny wordt van alle kanten gelukge-wenscht. De eerste minister komt ze echter op cynische wijze zeggen wat men van haar wacht; Zij moet de vriendin van den Vorst worden. En dan nadien zal zij zeker hen gedenken aan wie zij haar snellen opgang te danken heeft!
Intusschen wordt zij opgewacht ora naar het vorstelijk kasteel « Monbijou » te worden geleid. Zij neemt zich echter voor den prins z’n vier waarheden te zeggen, wat ook gebeurt, waarna zij verontwaardigd het kasteel verlaat en naar het station trekt.
Doch hij zet ze achterna en bereikt het meisje op het oogenblik dat het aamborstig lokomotiefje in gang geraakte.
Daar trekken twee schaduwen, in den nacht, door het vorstelijk paleis. En de... schaduwen zoenen zich: Ronny en Rudi.
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I Reinhold Schünzel
I Ä K ’in geloofsbelijdenis zou ik gemak-{ Iwl kelijk kunnen samenvatten in deze betrachting: « Moge de film, welke wij met vreugde hebben gemaakt, de men-schen blijgezind maken!».Weg met zwaarmoedige vraagstukken, weg met sombere uitzichten! De wereld is tegenwoordig zóó vol problematiek en duisterheid, dat een opgewekte stemming alleen verlossing brengen kan.
Ik heb geleerd de dingen, het leven-zelf, heel nuchter te beschouwen. En zoo komt mijn eigen leven mij heel nuchter voor. Een reporter die « biografische nota’s » hengelen kwam, kon ik slechts zeggen: » Het leven van den tooneel- en film-mensch Schünzel verliep, in groote lijnen, zooals het leven van 555 andere tooneel-en filmmenschen. Eerst de noodzakelijke tegenstand tegen de ouderlijke verlangens, ik moest koopman worden. Dan lauwerkransen in de kleine stadjes voor den tragischen helden- en karakteruitbeelder! Herrie in drie stadsschouwburgen; eindelijk verbintenis bij Meinhard en Bernauer, die toen de leiding hadden van drie theaters te Berlijn.
Jaar 1916: een postkaart «Wilt gij filmen?» — Natuurlijk beproefd. Carl Frölich, mijn eerste filmregisseur, heeft goede woorden voor mij: « Man, gij hebt een gansche loopbaan vóór u! » — Ik heb getracht die woorden tot waarheid te brengen. Intusschen Wedekind en Strindberg figuren op het tooneel. In 1920 mijn eerste regieproef. Dan weder als vertolker voor den film werkzaam. D'e toonfilm komt. Reinh. Schünzel, — dus ik, — die van het tooneel komt, leeft op. Weder filmregisseur. Jongste produkt: Ronny!
Ik begon aldus met het tragische en belandde, zoowel als vertolker, als regisseur bij de lichtere Muzen. Laat ons vroolijk zijn! Reinhold SCHÜNZEL.
CHANSONS. — LIEDEREN.
Les 7 chansons Dte 7 liederen uit du film den film
Il vaut beaucoup mieux,
Les rêves que nous faisons,
Quatre Dimanches,
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Les Rêves que De Droomen die
nous faisons, ons sussen...
La Marche de Pérusa, Perusa-Marsch.
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C’est bon tout II vaut beaucoup
d’même, mieux.
’t Is, ja, zoo goed... ’t Is beter zoo I
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Marche de Pérusa, Perusa-Marsch,
C’est bon tout ’t Is, ja, zoo goed...
d’même,
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(Renée de Pernois)
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A bord de YOdysseus, 5 mars 1931.
11 y aura dans un mois exactement cinq ans que nous naviguons par delà les mers sans avoir jamais eu la permission de voir et d’approcher une femme.
Quelle drôle d’idée a eu M. Macferson d’engager ce pari: ne pas voir de femme pendant cinq ans!...
Lui, si empressé auprès du beau sexe! 11 est vrai que l’enjeu en vaut la peine: 500.0G0 dollars. Mais il n a pas besoin de ça. 11 est riche, riche, immensément riche et, de plus, le moque totalement de l’argent. Seulement, voilà: Monsieur venait d’avoir une petite décep-tion amoureuse, et, dans l’exal-tation de son dépit, il a par bravade engagé ce pari, dont j imagine il est le premier à souffrir.Quant aux hommes qui composent notre équipage!... Ah! quel mal n’ai-je pas eu pour le recruter, ce satané équipage! Pensez donc, personne ne voulait accepter de demeurer cinq ans privé de société féminine. Heureusement qu’il y a pas de mal de repris de justice dans les bouges de Marseille. Ce sont les seuls êtres qui aient eu du cran parmi ceux que j'ai voulu engager. Mais il faut dire qu ils avaient eu à souffrir, eux aussi, des femmes. Ils n’ont pas hésité à s exiler pendant cinq ans et, ma foi! ça marche vraiment très bien depuis que nous naviguons. Le nègre s’est révélé un cuisinier parfait, le bonhomme chafion sans profession ni lieu s’est taillé un rôle de médecin qu’il a revêtu avec une dignité à laquelle moi-même je me laisse prendre! Les autres sont également parfaits, et s il leur
CALAIS
DOUVRES
deA. LITVAK
.AVEC
ANDRÉ ROANNE
ROBERT DARTHEZ
ARMAND BERNARD
MUSIQUE DE M.SPOLIANSKy
c’Esr
Réalisation de
ANATOL LITVAK
Musique de
MISCHA SPOLIANSKI
arrive parfois de chanter des romances sentimentales, ce n’est que pour mieux rire de leurs aventures passées.
Moi, je trouve que c’est la benne vie. Jamais je n’ai été si heureux, plus de tracas à cause des petites amies de Monsieur, plus besoin de redouter la venue intempestive et dangereuse d’un mari jaloux!... Je suis tranquille. Je mange, je dors et je m initie aux mystères des astres lorsque les nuits sont claires et la mer clémente.
Et dire que dans un mois mon bon temps sera fini!...
15 mars 1931.
UNE GRANDE COMÉDIE MUSICALE
LILIAN HARVEY
CALAIS'
DOUVRES
DE A. LITVAK —AVEC
ANDRÉ ROANNE
ROBERT DARTHEZ
armandIsernard
MUSIQUE QE M.SPOLIANSKy
C’ESr
Hé! hé! je crois que j’ai eu tort d écrire que tout marchait bien à bord.
Je ne sais pas ce qu’ils ont depuis quelques jours, mais on dirait bien qu’un vent de fron-de souffle dans les bérets. Ils sont tous irritables, se chamaillent pour des riens et n’ont pas coupé leur barbe depuis huit jours. Et puis, c’est qu’il ne faut rien leur dire... Ils ont le cafard, disent-ils, et ils m’accusent de les avoir traîtreusement incités à signer l'engagement que leur offrait mon maître, alors qu eux-mêmes, outrés de la conduite de leurs compagnes, avaient décidé de rompre toutes relations féminines. Et voilà maintenant qu ils soupirent après ces créatures sans pudeur! Pouah! Même sur un bateau, ce que les gens peuvent être terre-à-terre!
Jusqu’à mon maître, toujours si poli avec moi, qui m’a, ce matin, traité d’idiot, comme je lui demandais s’il avait passé une bonne nuit.
Vraiment, je n’y comprends rien.
Eh bien, il s’en passe de belles depuis deux jours!... Non, c’est incroyable!... Je ne sais pas ce que nous allons devenir. Une femme est à notre bord! Une femme, oui, une vraie. Et laquelle! Elle est belle, si belle, avec un corps de poupée, des cheveux aussi fins, aussi irréels que les fils lumineux qui traversent les airs du printemps. Et des yeux! Une bouche! Des jambes! Enfin, de quoi rendre fous tous les Diogène de la terre... Elle est là, dans la cabine « 13 », enfermée sur l’ordre de Monsieur, et c’est moi qui suis chargé de veiller à ce qu elle ne s’échappe pas. D’où vient-elle? Je l’ignore. Toujours est-il que je voudrais bien la voir ailleurs que sur notre bateau.
Voici comment les choses se sont passées:
L'Odysseus voguait tranquillement non loin de Calais, lorsque soudain retentit le cri: «Un homme à la mer!». Tout le monde se précipita. En effet, à quelques encablures du yacht, un nageur paraissait en difficulté. On le recueillit. C était une femme! Elle déclara se nommer Miss Gladys O’Halloiran et s’entraîner pour la traversée Calais-Douvres. Je vous demande un peu!
« M. Macferson, eut-elle l’audace de dire à mon maître, pouvez-vous m'offrir l’hospitalité pendant quelques heures? » Heureusement, mon maître a du cran. Il ordonna de reconduire à terre cette trop séduisante créature. Pfft! il n’avait pas fini de parler qu elle était déjà dans l’eau et criait qu elle était reporter du «Times » et que tout le monde allait rire de Macferson et de son équipage. C’est alors que Monsieur décida de la faire repêcher et de la séquestrer sur le bateau.
Voilà! M'ais j’ai bien peur que mon maître se laisse prendre au charme de cette déesse et qu’il peîrde ainsi son pari. Ce serait vraiment stupide!
25 mars 1931.
Elle est toujours là! Mais quelle peste! Ah, elle m’en a déjà fait voir, la mâtine! Il ne se passe pas de jour, que dis-je! de minutes, qu elle n’emploie à me tracasser. Un jour, elle m’échappe par un hublot et se met à danser sur le pont avec les hommes de l’équipage, qui l’adorent (pas moi)! Un autre jour, elle imagine de se faire un déshabillé élégant et suggestif avec les rideaux qui garnissent sa cabine et de simuler un empoisonnement. Tout le monde est affolé; Monsieur se précipite, demeure seul à son chevet. Parbleu! c’était bien là ce qu elle voulait, la rusée: seulement, moi, je suis là! J’ai, moi aussi, joué la comédie et annoncé à Monsieur — bien près de tomber dans les bras de la belle — qu’un cyclone menaçait à l’horizon et que sa présence était indispensable sur le pont. Ouf!
Mais aujourd’hui, je crois que je vais, moi aussi, lui jouer un tour à ma façon. Car je sais qui elle est véritablement: une dangereuse aventurière. Mon maître n a pas voulu la livrer lorsqu’une chaloupe de police est venue demander si l’on n’avait pas vu une personne dont le signalement est identique à celui de notre prisonnière. M. Macferson est — j’en ai maintenant la certitude — follement amoureux de Miss Gladys.
Il va falloir agir si je ne veux pas que Monsieur perde son pari.
26 mars 1931.
Dü nouveau à bord, ce matin. Miss Gladys s’est échappée, emportant avec elle les bijoux et le portefeuille de M. Macferson.
Monsieur ne veut pas porter plainte, mais ordonne qu'on jette l’ancre et qu on se mette à la recherche de cette femme.
Bon Dieu! pourvu qu’il ne la retrouve pas avant d’avoir gagné son pari!
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1 Wfilmtochten wordt eigenlijk veel te ( weinig geschreven. Zonder lawaai en
1 zonder klachten vergezelt zij ons op de hoogste bergen, in de diepste valleien, is zij bij ons in het water, op het dobberend schip en overal waarheen ons film-nood-j lot ons voert. Goede, trouwe filmcamera, t mijne eeresaluut!
En welke avonturen moet zij soms niet I medemaken!
J Ik wil hier een kort voorval vertellen, î gebeurd tijdens de opnamen van Dover-Calais.
Wij, onze regisseur Anatol Litwak, An-J dré Roanne en de cameraman F. Planer ) waren naar Nizza getrokken om er een I reeks buitenopnamen te maken.
Wij draaiden alzoo op verschillende kleine stoombooten cp de Middellandsche Zee, tijdens het voorjaar, hetwelk nu juist tamelijk stormachtig en vrij koud was. Ook daar beneden.Terwijl wij, men-schen, allen zonder onderscheid leerden wat <( zeeziek-zijn » beteekent, was onze camera de eenige die onverdroten op post I bleef. Zelfs een brutale kennismaking, bij een plotsen golfslag, met de reling van het schip doorstond zij uitstekend. Is het omdat — zooals men zeker al meer dan eens zal gelezen hebben — de camera zich weer heeft « bevrijd » en alle banden, die een oogenblik ze omknelden, overwonnen heeft?
Vertolkt door
LILIAN HARVEY
ANDRÉ ROANNE
Naar het tooneelstuk van
J. BERSTL
Verfilmd door Anatol LITWAK
Wij draaiden dus op het schip, naar land toe, doch ook van land uit naar het yacht, hetwelk wij voor de gelegenheid hadden af gemonsterd. Zoo stond Franz Planer met zijn camera, enkele dagen vóór onze afreis, op een steile rots die boven de zee uitstak.
Litwak, onze regisseur, bevond zich bij ons op het yacht. Roanne en ik stonden op het voordek.
Litwak riep Planer toe: « Zijt gij gereed?» — « Ja! », klonk het van land. — « Vooruit dan, opname! » Wij draaiden een klein tooneel, tijdens hetwelk wij dichter en dichter de kust naderden. Planer volgde ons met zijn camera en kwam, van opname tot opname, een stap voorwaarts.
Plotseling, te midden van het tooneel, een onverwacht « Verduiveld! ». Wij zagen: de goede Planer dook onder in het bruisend water. Hij was in het « vuur van het gevecht » neergetuimeld en zijn goede camera stond gansch alleen op de rots.
Planer is een uitmuntende zwemmer; hij had ons enkele dagen tevoren het bewijs geleverd zijner zwemkunst. Zoo namen wij het kleine ongeval niet verder tragisch op. Na enkele sekonden dook hij op en Litwak riep zijn op handen en voeten aan wal kruipenden cameraman toe: « Zie, Planer, eens en voor altijd, bij mijn film ben ik met de « bevrijde » camera in m’n schik, maar een « zich bevrijdende cameraman » maakt mij onrustig, hoor! »
Lilian HA'RVFY.
criuini uuur
LILIAN HARVEY
ANDRÉ ROANNE
'CALAIS
GLOBE
Le Globe est une boisson rafraîchissante d’une pureté et d’une finesse incomparables.
Son goût exquis, son parfum suave et sa délicieuse fraîcheur, lui ont valu son surnom —
L'AME DU CITRON
Hebt ge iets noodig?
De plaats der zeldzaamste en zonderlingste reklame is ongetwijfeld Hollywood. Ongewone bedrijven en zaken zijn daar als het ware als paddenstoelen uit den grond gerezen om de even eigenaardige aanvragen om de mogelijkste en onmogelijkste dingen te leveren, te kunnen voldoen. Want wie zal wel ooit een volledige inventaris kunnen opmaken van al hetgeen voor die kilometers-films gebruikt wordt?
Iedere maand ontvangen de groote film-gezeischappen een aankondigingen-adres-bcek. In dit lijvig boek zijn uitsluitend advertenties opgenomen van lieden die iets aan te bieden hebben, betrekking hebbend op het filmbedrijf.
Daarin worden aangeboden: sneeuw en bloed, draken en andere min of meer wilde dieren, maar ook alle soorten huisdieren, waartusschen vliegen en vlooien.Ver-j huurders van vliegtuigen, zeppelins, yach-• ten, roeibooten, walvisschen — in ieder! geval kunstmatige! — adverteeren naast j hand- en voetverzorgers, spraakleeraars,
/ tooneelscholen, enz. Vooral de bladzijden ï dezer laatst genoemde reeks groeien zien-j deroogen aan, sinds de komst van den j toonfilm!
Rennfro, eigenaar van een groote hon-5 den-farm, herinnert de heeren « directors » \ eraan dat men bij hem 65 honden van alle j rassen en geslachten vinden kan en die! allen voor z’n minst in staat zijn op twee j pooten te gaan en te gehoorzamen op het I « woord » en op het « teeken » (wat, natuurlijk, absoluut noodig is voor den klankfilm).
iD‘e eigenaardige honden-films van de Metro Goldwyn Mayer zijn o. a. door me-j dewerking van dezen hondenliefhebber I verwezenlijkt.
Stelt men echter meer belang in vliegdienst, zoo belle men Van Nuys 621 W op. Een zeer hoffelijke man aan het andere uiteinde van den spreekdraad zal bereidwillig meedeelen dat speciale camera-vliegtuigen, waarin toestellen van iedere grootte en ieder fabrikaat kunnen aangepast worden, ter beschikking staan.
Een andere heer, die als slagwoord gebruikt « Call me jack! », verklaart dat men bij hem alle menschelijke en dierlijke... wangedrochten bekomen kan, tegen een overeen te komen honorarium, hetwelk berekend wordt volgens de zeldzaamheid en de graad van monsterachtigheid van het sujekt. Van de reuzendame hot het Liliput-ventje, van het kalf met zwijnen-pooten tot de kat met den hondenkop, van de dikste dikkerd ter wereld tot de uitgemergelde skeletaap: alles is hier te vinden!
Weer andere firma’s specialiseeren zich in perrukken en baarden. Goede verdiensten hebben ook de kostuumverhuurders te boeken.
Twee andere firma’s maken bekend dat zij gebruikte « ontwikkelaars » koopen. Dteze vloeistof is, zooals men weet, rijk aan zilver (door het behandelen van den filmband, die een gedeelte van zijn broom-zilver afstaat) .Door een speciaal chemisch processus kan men het zilver terugwinnen. Deze beide firma’s bestaan zoolang als de filmindustrie zelf en hebben inderdaad goede zaken gedaan.
« Staal en andere metaalartikelen van alle soort en van iederen tijd » biedt weder een andere ondernemer aan. En deze gedenkt met weemoed terug aan de verfilming van «Ren Hur! »... D[at was een goeden tijd.
En zoo zou men kunnen voortgaan, veel bladzijden. Intusschen verschijnt reeds een nieuw nummer van het vreemdsoortig adresboek. En daarin vindt men weer wat anders: het is onuitputtelijk!
L’aviation au service du Cinéma
npoute une série de grands reportages I cinématographiques récents vient de démontrer éloquemment la grande part prise par l’aviation dans cette branche si intéressante du progrès et de 1 activité modernes.
Pourtant le reportage cinématographique en avion, qui a été élevé depuis quelque temps par des « cameramen » d’élite jusqu’à la hauteur d’un art ne date pas d’hier. On en jugera d’ailleurs par cette petite incursion dans un passé qui s’estompe à peine dans nos souvenirs.
Lv premier reportage en avion fut réalisé par l’opérateur Le Saint, qui tourna certain jour de 1910 une a chasse au canard sauvage » avec Martinet et Lega-gneux. On raconte encore dans le milieu du cinéma d'actualités l’aventure de Robert Molin, qui est aujourd’hui l’un des tout premiers collaborateurs de « Pathé-Journal » et en même temps l’un des plus anciens de la corporation. Molin allait partir un jour avec le pilote Champel pour une prise de vues dans les environs de Juvisy et il avait déjà pris place dans l'appareil lorsque l’avion — on disait alors l’aéroplane — prit le départ tout seul comme on mettait le moteur en marche. Mlolin n’hésita pas, quoique complètement profane en la matière, il tira sur le manche comme l’Oirge s’annonçait à quelques mètres de lui, il prit de la hauteur, escalada la rivière, puis lâcha petit à petit et vint atterrir tant bien que mal. Mais on avait eu chaud ce matin-là à Juvisy! Par ailleurs, Maxime D'ely, que Pivclo avait baptisé « Rouletabille », se tailla une belle popularité en effectuant un reportage aérien de grande envergure avec la
Le nombre de cinémas dans le monde!
D ’après les données publiées par le Département du commerce des Etats-Unis, il existait, dans le monde entier, vers la fin de 1931, 64 mille cinémas, ce qui représente, par rapport à 1930, une augmentation de 2.000 cinémas.
Dans ce nombre, 28.230 cinémas ont été outillés pour la projection des films sonores (augmentation, pour l’année, de 8.800).
Hollywood conserve toujours la première place dans la production, les Etats-Unis ont beaucoup perdu dans ce domaine, et la production cinématographique des autres pays du monde, par son total, se rapproche très sensiblement de la leur.
Cela, en particulier a été le résultat de l’apparition du cinéma parlant, ce qui a provoqué partout une tendance pour la réalisation des films avec version en langue nationale. Le cinéma parlant se montre très lent à pénétrer, seulement, dans les pays du Proche-Orient.
En 1931, il y existait en tout pour tout 16 cinémas sonores, alors qu’en 1930 il n y en avait pas un seul.
Par contre, l’engouement pour le cinéma s’accroît d’une façon rapide dans les lointaines contrées de l’Extrême-Orient.
En 1931, on y comptait déjà 4.925 cinémas, dont 1.545 sonores.
C’est aux Etats-Unis qu’existe le plus grand nombre de salles de cinéma. Il atteint 22.C00, dont 13.000 cinémas sonores.
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Par la suite, ces sortes de reportages ultra-modernes se multiplièrent et ils sont aujourd’hui parfaitement courants.
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De techniek van den film
De synthetische klank
De moderne filmtechniek heeft weer wat nieuws aan het licht gebracht. Het ding heet: de synthetische klank. Wat men hierdoor verstaat? Ziehier:
Een klank kan zoodanig worden geregistreerd, dat hij kunstmatig kan worden weergegeven. D'aartoe deed men vroeger enkel beroep op de wassen fonoplaat, sinds kort ook op de celluloïden filmstrook. Op de fonoplaat staat de klank ge-j grift, op de pellikuul is hij gefotografeerd, j In beide gevallen was eerst het werkelijk ( voortbrengen van den klank noodig, wou ( men hem kunnen registreeren.
Î De technici zijn e,r nu in geslaagd den klank op de pellikuul te brengen, zonder dat hij vooraf hoorbaar heeft bestaan. Zij hebben namelijk op de spreekfilms de in prenten omgezette geluiden zoodanig bestudeerd, dat zij nu nauwkeurig weten hoe elk « klankbeeld » er uitziet. Nu tee-kenen zij klanken naar goedvinden, foto-grafeeren ze, en bij de projektie klinken ze hoorbaar op.
Dit noemt men de «synthetische klank». Dat hier voor de cinematografie onvermoede toekomstmogelijkheden in schuilen, is duidelijk. Immers, de geluiden die totdusver hinderlijk klonken bij de projektie, kunnen nu na de opnamen door meer fonogenische worden vervangen. Aan de stemmen b.v. kan men een ander «volume » geven. Zelfs kan men nu klanken maken, die in de werkelijkheid niet bestaan of die tot dusver niet te registreeren waren.
D'e spreekflim verovert dus weer een nieuw gebied, dat van het onwezenlijke. Dte Ehiitscher Rudolf Pfenniger is reeds begonnen met aldus films te maken, waarvan niet enkel de prenten, maar ook de
Dans Ie Monde du Cinéma
Pour amortir les pièces de théâtre.
Un projet pour la construction de douze cinémas-théâtres va être mis en exécution par le circuit anglais Bernstein.
La première salle sera élevée à Shrewsbury, et son érection commencera dans un mois environ. Le reste des salles sera construit dans la période de trois ans.
Ces salles joueront une pièce une semaine par mois, et le reste du temps on y projettera des films. M. Bernstein, qui aime le théâtre, prétend que seulement, par cette initiative, on pourra lui conserver longue vie; une troupe pouvant voyager ainsi de quartier en quartier et de ville en ville, comme le font les films.
Un étrange scénariste.
On serait bien incapable de deviner qui est l’auteur du scénario du film Ladies of the Big House, que l’on vient de présenter à Paris, dans sa version anglaise. Eh bien! voilà, c’est tout simplement l’œuvre d’un condamné à perpétuité de la prison de Folsom (U. S. A.).
Cet auteur - bagnard, Emest Booth, a écrit une lettre à M. Louis Weitzenkorn — l’adaptateur de ce film —- lui disant qu’il a eu l’occasion de lire les critiques très élogieuses de son scénario, lors de sa présentation à New-York. Voici la touchante phrase qui termine sa lettre:
« Alors que je ne verrai sans doute jamais mon film, c’est une grande joie pour moi de savoir que vous en avez fait une si belle chose ».
heele muziek geteekend werd. Bij de projektie krijgt men een koncert te hooren, zonder dat één muzikant aan de verwezenlijking medewerkte.
UIT FILMLAND
Iedereen herinnert zich nog gewis de bijval, ook ten onzent, van het poppenspel der Piccoli. Dank aan de samenwerking van Mevr. Carmen Boni en van M:. Mastrocinque gaat men een reeks zulker poppen-films maken. Het zullen korte films zijn, met speciaal-verzorgde muzikale onderlijning en weinig dialoog (gelukkig!). D'e aard der personages zal een weinig gemoderniseerd worden.
Uit Los Angeles meldt men het huwelijk van Joan Bennett — de jongste der drie gezusters die allen in filmland werkzaam zijn — met Mr. Gene Markey, dagblad- en romanschrijver. Men weet dat de oudste, Mrs Constance Bennett, onlangs in het huwelijksbootje stapte, naast de Markies de la Falaise (vroegere echtgenoot van Gloria Swanson).
Als Grand Hôtel heelemaal zal klaar zijn, gaat Greta Garbo onmiddellijk een andere rolprent aanvangen, nl. As you desire me, naar een tooneelwerk van Pirandello. Georges Fitzmaurice, de insceneer-der van Mata-Hari en Strangers May Kiss, zal de leiding op zich nemen. De mannelijke hoofdrol wordt vertolkt door niemand minder dan Erich von Stroheim, die alzoo terug op het doek verschijnt, na langen tijd zich afzijdig te hebben gehouden.
Een nieuw film-vakblad wordt te Parijs in het licht gezonden, met als titel: Cinedocument. Het heeft hoofdzakelijk voor doel de studie van den leer- en opvoedkundige film en wordt uitgegeven door het Office du Cinéma éducateur de ïAcadémie de Paris, rue Robert-Estienne,
Mijn Pastoor bij de Rijken werd her-filmd met Alice Roberte, Jim Gerald en Camille Bert.
ln de U.F.A.-studio's van Neubabels-berg bereidt men drie films voor, nl.:
Ge zult m’n Vrouw zijn, verwezenlijkt door Carl Boese, naar een blijspel van L. Verneuil: Pour avoir Adrienne. Hoofdrollen (Fransche versie): Alice Field, Roger Tréville, Lucien Baroux.
De Man zonder Naam, een ontroerend drama, door G. Ucicky ineengezet en waarin voor het eerst de groote Firmin Gémier voor den spreekfilm zal optreden.
Quick, Quick, een circusblijspel naar een tooneelstuk van Gandéra en vertolkt door Lilian Harüey, Jules Berry, Pierre Brasseur, Armand Bernard, onder de leiding van Robert Siodmak.
+ A gentschap O’Kay, scenario van Jean Deyrmon, wordt door André E. Chotin verfilmd. Tusschen de vertolkers zijn te noemen: Roger Dhnn en Marguerite Moreno.
De befaamde Amerikaansche insce-neerder van Ben-Hur, Fred Niblo, was in ( Engeland verbonden om films te verwe- / zenlijken voor Erich Hakim.
Terwijl hij volop aan de verwezenlijking van zijn tweeden film bezig was, heeft hij het bijltje er bij neergelegd. De reden? Niblo beweerde dat hem een onvolledig scenario werd gegeven en waarvoor zelfs al de dialogen niet voorhanden waren.
Pierre Colombier gaat Mijn Weduwe verfilmen, naar een scenario van Yves Mirande.
Vooraleer Een bladzijde uit Mozart’s leven te verfilmen, bereidt Henry Rous-sell een nieuw blijspel voor, nl. La Fleur d’Oranger (Oranjebloesem), naar het gekende tooneelstuk van André Birabeau en Georges Delely.
JADIO et RADIO-GRAMOPHONE
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